
Le Moniteur #6351 : A Albi, coup de jeune pour le Pont-Vieux
Fabien Renou
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Pour l'instant, on est loin d'un départ en trombe. Après le renoncement de Martin Fourcade, suivi de la nomination d'Edgar Grospiron à la tête du Comité d'organisation des JOP (Cojop) d'hiver de 2030, la désignation de son directeur général a tourné à la mauvaise blague : plusieurs fois reportée, elle …
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Description
- Titre(s)
- Le Moniteur #6351A Albi, coup de jeune pour le Pont-Vieux
- Auteur(s)
- Fabien Renou (651)
- Collation
- 1 vol. (106 p.) ; illustrations et couverture en couleurs ; 27 cm
- Année
- 2025
- Sujet(s)
- Aménagement du territoire : FranceZones commerciales : FranceEquipement culturel : Centre d'art : Beauvais : OiseOuvrages d'art : Restauration
- Genre
- Aménagement
- Langue(s)
- français
- Résumé
- Pour l'instant, on est loin d'un départ en trombe. Après le renoncement de Martin Fourcade, suivi de la nomination d'Edgar Grospiron à la tête du Comité d'organisation des JOP (Cojop) d'hiver de 2030, la désignation de son directeur général a tourné à la mauvaise blague : plusieurs fois reportée, elle est finalement intervenue le 17 avril. Bref, ça patine, mais cela n'a rien d'artistique. La Solidéo Alpes 2030, elle, semble mieux partie. Elle a même lancé son premier projet, le village olympique de Briançon (Hautes-Alpes). Mais puisque rien ne semble pouvoir se faire simplement, son fonctionnement repose sur une présidence tournante, entre le président de la région Paca et celui d'Auvergne-Rhône-Alpes. Or c'est bien dans cette bicéphalie qu'il faut chercher les raisons du retard à l'allumage du Cojop. Placer les collectivités territoriales au centre du jeu relève pourtant du bon sens. Les sites de compétition -dont la liste fait encore l'objet de tractations entre élus - et les quatre villages olympiques se répartissent sur quatre départements et deux régions. Les Alpes françaises, qui accueilleront ces jeux d'hiver, ont en effet la bonne idée de se jouer des frontières administratives. Elles exigent donc de la coopération entre édiles locaux jaloux de leurs prérogatives, là où Paris 2024 bénéficiait à plein de la verticalité du centralisme français. Placer les collectivités territoriales au centre du jeu relève du bon sens. Soyons honnêtes : l'Etat n'est pas exempt de carence. On s'en souvient, les législatives surprises de l'an dernier avaient temporairement empêché le gouvernement d'apporter son indispensable caution financière à l'événement. Pourtant, le temps presse. Il faut avancer sur les équipements sportifs, moderniser l'offre immobilière et remettre à niveau les infrastructures permettant l'accès à des sites souvent haut perchés. Ces investissements, bien partis pour dépasser les 2 milliards d'euros, exigent que tout le monde mette de l'huile dans les rouages, plutôt que de patauger dans la fondue savoyarde. Alors qu'un département - la Charente - peine à se doter d'un budget en raison de bisbilles locales, les collectivités doivent absolument faire preuve de maturité si elles veulent assumer la gestion des projets structurants pour leurs territoires. Dans les Alpes, elles ont le choix entre la reconnaissance mondiale et la réprobation nationale.
- Prix
- 14 EUR
- Editeur(s)
- Éd. le Moniteur
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Médias
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