Courbet ou La peinture à l'oeil
Jean-Luc Marion
Affiner le résultat de recherche avec le type de document livres Afficher tous les documents ayant la date d'édition : , commele document Courbet ou La peinture à l'oeil 2014Afficher tous les titres de la collection "".Tandem (Paris)Rechercher tous les documents ayant comme Sujet: Courbet : Gustave : 1819-1877 : Critique et interprétationRechercher tous les documents ayant comme Sujet: Courbet, Gustave (1819-1877) -- Cerf courant sous boisRechercher tous les documents ayant comme Sujet: Courbet, Gustave (1819-1877) -- Le Chêne de FlageyRechercher tous les documents ayant comme Genre: Gustave CourbetRechercher tous les documents ayant comme Genre: Franche-Comté - Généralités
Contrairement à sa légende, Gustave Courbet ne fut ni un peintre réaliste ni un peintre politique, encore moins un peintre provincial. Il fut révolutionnaire, bien sûr, mais en pratiquant, comme les plus grands, "lapeinture à l'oeil". Expression à entendre au double sens d'une peinture gratuite (ne dépendant ni des commandes …
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Description
- Titre(s)
- Courbet ou La peinture à l'oeilAvant-proposI.Courbet comme paradoxeII. Du "réalisme" à la peineIII. Neutraliser le "moi"IV. Peindre "à l'idée" ou à l'œilV. La chose mêmeVI. La certitude de CézanneVII. Transfert de nature viveListe et identification des oeuvresBibliographieTable des crédits
- Auteur(s)
- Jean-Luc Marion (Auteur)
- Collation
- 1 vol. (225 p.-[8] p. de pl.) ; ill. en coul., couv. ill. ; 21 cm
- Collection(s)
- Tandem (Paris)
- Année
- 2014
- Sujet(s)
- Courbet : Gustave : 1819-1877 : Critique et interprétationCourbet, Gustave (1819-1877) -- Cerf courant sous boisCourbet, Gustave (1819-1877) -- Le Chêne de Flagey
- Indice
- Réalisme et naturalisme : peinture
- Genre
- Gustave CourbetFranche-Comté - Généralités
- Identifiant
- 2-08-126098-0
- Langue(s)
- français
- Notes
- Bibliogr. p. 221-226
- Résumé
- Contrairement à sa légende, Gustave Courbet ne fut ni un peintre réaliste ni un peintre politique, encore moins un peintre provincial. Il fut révolutionnaire, bien sûr, mais en pratiquant, comme les plus grands, "lapeinture à l'oeil". Expression à entendre au double sens d'une peinture gratuite (ne dépendant ni des commandes de l'Etat ni des prix du Salon), et surtout d'une peinture qui ne fait pas "à l'idée" de ce qu'elle aurait déjà prévu - mais qui "voit" dans l'acte même de peindre. D'où une rupture avec le primat du dessin (Ingres), avec l'exotisme (Delacroix), le spectaculaire (Géricault), avec la maîtrise du regard du peintre, cela pour libérer la peine des hommes et l'élégance des choses. [...] Comme Cézanne, qui se revendiquait de lui, Courbet élève les choses à leur dignité dernière : non des objets construits et produits, mais des phénomènes surgissant et se donnant d'eux-mêmes à voir.
- Prix
- 23 EUR
- Editeur(s)
- Flammarion
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