Les revêtements de sol pour les cheminements doux
Conseil d'architecture, d'urbanisme et de l'environnement
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Au cours des 50 dernières années, la Vendée a connu une forte urbanisation de ses bourgs, mais aussi de ses villes. Celle-ci a constamment privilégié le déplacement en voiture. Ce choix a marginalisé le déplacement doux : le piéton, le cycliste ne trouvent pas leur place sur l’espace public, avec …
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Exemplaires
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Description
- Titre(s)
- Les revêtements de sol pour les cheminements doux
- Auteur(s)
- Conseil d'architecture, d'urbanisme et de l'environnement (Auteur)Joël Sarlot (651)
- Collation
- 1 vol. (75 p.) ; ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. ; 25 cm
- Collection(s)
- Collection Conseils pratiques d'aménagement
- Année
- 2010
- Sujet(s)
- Revêtements (voirie)RuesSentiers
- Indice Dewey
- 625.8
- Genre
- Aménagement
- Identifiant
- 2-918010-06-5
- Langue(s)
- français
- Notes
- Bibliogr. p. 66. Webliogr. p. 67. Glossaire
- Résumé
- Au cours des 50 dernières années, la Vendée a connu une forte urbanisation de ses bourgs, mais aussi de ses villes. Celle-ci a constamment privilégié le déplacement en voiture. Ce choix a marginalisé le déplacement doux : le piéton, le cycliste ne trouvent pas leur place sur l’espace public, avec pour conséquence la mise en œuvre de réseaux de voies très larges mais indifférenciées, une omniprésence de l’enrobé et une imperméabilisation excessive des surfaces. Le contexte énergétique d’aujourd’hui montre les limites du déplacement automobile et l’évolution des mentalités, interpellées par la nécessité de gérer au mieux les émissions de CO2, invite à réinvestir, pour les courtes distances, les modes de déplacement économes en énergie : marche, déplacement à vélo… La sécurité de ces modes de circulation alternatifs pose la question de la régulation des vitesses et du partage de la voirie. Parallèlement, le développement du tourisme nécessite lui aussi des espaces apaisés et sécurisés où peuvent se dérouler des activités de loisir et de commerce (promenade, terrasses…). Ces modes de déplacement doux, dans ces conditions, pour des distances “courtes” et souvent quotidiennes, présentent des bénéfices avérés sur la santé et le stress, et s’avèrent particulièrement adaptés aux aspirations des habitants et des touristes. La trame et le maillage des cheminements doux, à l’intérieur des quartiers et entre ceux-ci, deviennent donc des éléments stratégiques capitaux pour les communes. Pour accompagner cette évolution bénéfique à plus d’un titre, le choix des caractéristiques des chemins doit être pris très au sérieux. En effet, la nature des revêtements de sol qualifie l’espace public. En un coup d’œil, le piéton ou le cycliste doivent pouvoir identifier un espace où ils seront les bienvenus. En parallèle, la question de l’entretien se complexifie et évolue vers une gestion raisonnée et une prise en compte du développement durable dès la conception. Par leurs choix de matériaux et de conception respectueux de l’environnement, les collectivités donnent l’exemple en optant pour un équilibre entre performances techniques, économiques mais aussi patrimoniales, sociales, éthiques et environnementales.
- Editeur(s)
- CAUE de la Vendée
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Médias
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