Couverture de Architectures de la Reconstruction dans l'Est de la Somme

Architectures de la Reconstruction dans l'Est de la Somme

Carmen Popescu

L'est de la Somme après-guerre. L'est de la Somme a particulièrement souffert de la première guerre mondiale : tant de communes furent détruites que sur la carte tracée par le bureau topographique de la Reconstruction foncière, ce territoire, considéré comme irrécupérable, avait été marqué en rouge, d’où son nom de …

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Description

Titre(s)
Architectures de la Reconstruction dans l'Est de la Somme
Auteur(s)
Carmen Popescu (Auteur)Jean-Claude Rime (Illustrateur)Thierry Lefébure (Photographe)Service régional de l'inventaire général Picardie (Auteur)Historial de la Grande guerre (651)
Collation
1 vol. (64 p.) ; ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. ; 23 cm
Collection(s)
Itinéraires du patrimoine
Année
2006
Sujet(s)
Reconstruction d'après-guerre : France : Somme (France) : 1900-1945Urbanisme : France : Somme (France) : 1900-1945
Indice Dewey
Architecture : 2000-
Genre
Architecture
Identifiant
2-914528-26-4
Langue(s)
français
Notes
ADES = Agence pour le développement de l'Est de la Somme
Bibliogr., 1 p.
Résumé
L'est de la Somme après-guerre. L'est de la Somme a particulièrement souffert de la première guerre mondiale : tant de communes furent détruites que sur la carte tracée par le bureau topographique de la Reconstruction foncière, ce territoire, considéré comme irrécupérable, avait été marqué en rouge, d’où son nom de « zone rouge ». La Reconstruction : Malgré le drame, architectes, urbanistes et hygiénistes réfléchissent de concert à des solutions nouvelles pour transformer ces ruines en force pour les régions sinistrées. L’architecture de la première Reconstruction y constitue aujourd’hui un héritage d’exception ; sur un plan quantitatif, sa présence très forte sur le territoire a marqué de son empreinte l’image de la région et constitue un perpétuel mémento de la déflagration qui a ravagé ces terres. Sur le plan qualitatif, formes et matériaux employés ont fait l’objet de grands soins. L´histoire du « petit » patrimoine : Toutefois, l’héritage de cette période tient surtout à ce que l’on désigne comme une « architecture ordinaire », en raison d’un conflit qui a détruit des milliers de foyers. Aussi, compte-t-on à côté d’édifices majeurs — églises, hôtels de ville… — une majorité de constructions banales, mais qui ne manquent pas d’intérêt pour autant et méritent d’être découvertes et comprises.
Prix
7,50 EUR
Editeur(s)
Lieux Dits éd.
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Médias

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Auteur principal : Carmen Popescu

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