Architectures de fer du XIXe siècle
Georges Delobbe
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Le métal commence à être utilisé dans l’architecture et le génie civil dès la fin du XVIIIème siècle. En même temps que progresse la Révolution industrielle, qui permet la production et la commercialisation du fer et de la fonte, le métal est de plus en plus massivement utilisé : l’architecture, …
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Exemplaires
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Description
- Titre(s)
- Architectures de fer du XIXe siècle
- Auteur(s)
- Georges Delobbe (Auteur)
- Collation
- 1 vol. (48 p.) ; ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. ; 27 cm
- Collection(s)
- Périscope (Mouans Sartoux).
- Année
- 1998
- Sujet(s)
- Construction métallique : 19e siècleArchitecture 1800-1900Fer : Matériau de construction
- Indice Dewey
- Art du métal
- Genre
- Architecture
- Identifiant
- 2-87785-512-0
- Langue(s)
- français
- Notes
- Bibliogr., 1 p.
- Résumé
- Le métal commence à être utilisé dans l’architecture et le génie civil dès la fin du XVIIIème siècle. En même temps que progresse la Révolution industrielle, qui permet la production et la commercialisation du fer et de la fonte, le métal est de plus en plus massivement utilisé : l’architecture, dans ses formes et sa pratique, en est profondément transformée. D’abord employée pour des raisons techniques, l’architecture métallique est utilisée pour les halles, les gares, les ponts, les passages couverts, les grands pavillons des Expositions Universelles et tous bâtiments de transit. La première qualité du fer et de ses dérivés est une bonne résistance au feu. Ainsi, dès 1830, à cause du risque d’incendie qu’implique l’éclairage aux chandelles puis au gaz, tous les combles des théâtres parisiens sont réalisés en fer. Encore, ce matériau est bien plus résistant que le bois ou la pierre. Il permet d’augmenter les portées, ou à portée égale d’alléger, d’ouvrir les bâtiments et y installer de grandes verrières. Une colonne en fonte suffit là où il eut fallu un épais trumeau en maçonnerie.
- Editeur(s)
- Publications de l'école moderne française
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