BAFAC - Bibliothèques des Alliances Françaises en Asie Centrale
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Description

Titre(s)
Pierre Verger
le messager
photographies 1932-1962
Auteur(s)
Pierre Verger (Illustrateur)Jean-Loup Pivin (Auteur)Pascal Martin Saint-Léon (Auteur)Charles-Henri Favrod (Auteur de la postface)
Collation
240 p. ; ill., couv. ill. ; 33 cm
Année
1993
Sujet(s)
Verger : Pierre : 1902-1996 : Expositions
Genre
Arts, loisirs, sport
Identifiant
2-909571-04-1
Langue(s)
anglais, français
Notes
Publ. à l'occasion de l'exposition présentée à Lausanne, Musée de l'Elysée, juin-août 1993 et à Paris, Musée national des arts africains et océaniens, 17 novembre 1993-16 janvier 1994
Bibliogr. p. 238
Résumé
Pierre Verger est certainement le photographe le plus humain et le plus amoureux du monde. Un regard respectueux et tendre d’une époque encore vierge. Une redécouverte de Pierre Verger photographe, avant la renaissance de Pierre Fatumbi Verger (initié au culte vodou). En 1932, alors qu'il a trente ans, Pierre Verger décide de tout abandonner pour voyager et se consacrer à la photographie. Il sera un des grands photographes de l'époque publiant des photos libres sur les peuples à travers le monde. Il fréquente George-Henri Rivière, Michel Leiris (qui l'ouvrent au monde africain au Musée d'Ethnographie du Trocadéro comme aux soirées du "Bal Nègre" de la rue Blomet), la "bande de Jacques Prévert", les photographes humanistes de l'époque (Zuber, Boucher, Feher, Bellon puis Capa avec qui il fonde l'agence Alliance Photo). Il travaille pour Paris-Soir, le Daily Mirror, Paris Match, les éditions Paul Hartmann… Son regard sur l'humanité transcende tous les folklores et toutes les différences. Ecœuré par l'horreur de la guerre sino-japonaise, qu'il couvre pour Alliance Photo, et sa position de voyeurisme comme photographe de presse, il renonce à ce type de photographie et continue de voyager librement sans autre objectif que la rencontre avec les autres. De continent en continent, d'Afrique aux Amériques, il rencontre Alfred Métraux, Roger Bastide… En 1948, Théodore Monod (alors directeur de l'Ifan de Dakar) l'oblige à rédiger des notes à coté de ses photographies. Il devient ainsi chercheur sur le culte Yoruba en Afrique et au Brésil (cf "Dieux d'Afrique" Ed. Revue Noire), et plus tard membre du CNRS.
Prix
340 F
Editeur(s)
Ed. "Revue noire"
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Médias

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Auteur principal : Pierre Verger

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