Les écureuils de Central Park sont tristes le lundi : roman
Katherine Pancol
Affiner le résultat de recherche avec le type de document Livres Afficher tous les documents ayant la date d'édition : , commele document Les écureuils de Central Park sont tristes le lundi : roman 2011Afficher tous les titres de la collection "".Le Livre de pocheRechercher tous les documents ayant comme Sujet: Roman d'amourRechercher tous les documents ayant comme Sujet: Saga familialeRechercher tous les documents ayant comme Sujet: Roman contemporainRechercher tous les documents ayant comme Sujet: Histoires de vieRechercher tous les documents ayant comme Sujet: AmitiéRechercher tous les documents ayant comme Genre: Romans
Souvent la vie s’amuse. Elle nous offre un diamant, caché sous un ticket de métro ou le tombé d’un rideau. Embusqué dans un mot, un regard, un sourire un peu nigaud. Il faut faire attention aux détails. Ils sèment notre vie de petits cailloux et nous guident. Les gens brutaux, …
Merci de patientier...
Exemplaires
Merci de patientier
Description
- Titre(s)
- Les écureuils de Central Park sont tristes le lundiroman
- Auteur(s)
- Katherine Pancol (Auteur)
- Collation
- 1 vol. (944 p.) ; couv. ill. en coul. ; 18 cm
- Collection(s)
- Le Livre de poche
- Année
- 2011
- Sujet(s)
- Roman d'amourSaga familialeRoman contemporainHistoires de vieAmitié
- Genre
- Romans
- Identifiant
- 2-253-16195-0
- Langue(s)
- français
- Notes
- Bibliogr. p. 941-942
- Résumé
- Souvent la vie s’amuse. Elle nous offre un diamant, caché sous un ticket de métro ou le tombé d’un rideau. Embusqué dans un mot, un regard, un sourire un peu nigaud. Il faut faire attention aux détails. Ils sèment notre vie de petits cailloux et nous guident. Les gens brutaux, les gens pressés, ceux qui portent des gants de boxe ou font gicler le gravier, ignorent les détails. Ils veulent du lourd, de l’imposant, du clinquant, ils ne veulent pas perdre une minute à se baisser pour un sou, une paille, la main d’un homme tremblant. Mais si on se penche, si on arrête le temps, on découvre des diamants dans une main tendue… Et la vie n’est plus jamais triste. Ni le samedi, ni le dimanche, ni le lundi…
- Liens internet
- Extrait
- Prix
- 9 EUR
- Editeur(s)
- Librairie générale française
Merci de patientier...
Médias
Merci de patientier
Voir aussi
Les documents de la même série
Les similaires
Merci de patientier...