![Couverture de La Cerisaie](https://websvc.afi-sa.net/afi_opac_services/images/jaquettes/thumbs/3347983.jpeg)
La Cerisaie
Anton PavloviÏc ÏCehov
Affiner le résultat de recherche avec le type de document Livres Afficher tous les documents ayant la date d'édition : , commele document La Cerisaie 1985Afficher tous les titres de la collection "".Collection Théatre et mises en scèneRechercher tous les documents ayant comme Sujet: Théâtre classiqueRechercher tous les documents ayant comme Sujet: Littérature russeRechercher tous les documents ayant comme Genre: Théâtre
Peu de pièces auront été autant jouées que La Cerisaie, depuis sa création en 1904. Et supporté des éclairages, des commentaires aussi contradictoires. Pièce-testament (Tchekhov meurt l'année même de la parution de la pièce), oeuvre charnière, La Cerisaie referme doucement une porte sur un monde agonisant, tandis qu'une autre s'entrouvre, …
Merci de patientier...
Exemplaires
Merci de patientier
Description
- Titre(s)
- La Cerisaie
- Auteur(s)
- Anton PavloviÏc ÏCehov (Auteur)
- Collation
- 127 p.
- Collection(s)
- Collection Théatre et mises en scène
- Année
- 1985
- Sujet(s)
- Théâtre classiqueLittérature russe
- Genre
- Théâtre
- Identifiant
- 2-218-06855-9
- Langue(s)
- français
- Résumé
- Peu de pièces auront été autant jouées que La Cerisaie, depuis sa création en 1904. Et supporté des éclairages, des commentaires aussi contradictoires. Pièce-testament (Tchekhov meurt l'année même de la parution de la pièce), oeuvre charnière, La Cerisaie referme doucement une porte sur un monde agonisant, tandis qu'une autre s'entrouvre, par où pénètre, comme par effraction, l'aube d'une ère nouvelle. Aube ou crépuscule ? Tchekhov ne tranche rien. Il décrit le neuf et l'ancien, le passé comme l'avenir, avec les mêmes couleurs indécises, fluctuantes. Ses personnages ont l'allure de fantômes, d'ombres blanches, de marionnettes aux fils brisés. Leurs dialogues décousus, hésitants, laissent surgir des plages de silence, un vide soudain mis à nu où résonnent d'étranges échos. On ne peut ici s'accrocher à rien. Même la mort paraît incertaine, quand "la vie a filé, et on dirait qu'elle n'a pas commencé". Ainsi posée en suspens, la voix de Tchekhov, son murmure, ne cesse de nous interroger, avec une douce insistance. --Scarbo
- Editeur(s)
- Hatier
Merci de patientier...
Médias
Merci de patientier
Merci de patientier...