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J'ai beaucoup souffert de ne pas avoir eu de mobylette

Jackie Berroyer

Livres 2004 Nouvelles (Paris. 1998).Récit Chroniques Autobiographie Humour Romans

Sous des titres aussi évocateurs que "°Chômedu°", "°Vous voyez bien qu'il est bourré°!°" ou encore " Noël au ballon, Pâques en prison°", Jackie Berroyer recrée l'univers des banlieues des années soixante, ses prolos, sa misère, ses blousons noirs et ses " frangines°", sa violence, et parfois sa tendresse. Ces portraits …

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Description

Titre(s): J'ai beaucoup souffert de ne pas avoir eu de mobylette
Auteur(s): Jackie Berroyer (Auteur)
Collation: 245 p. ; couv. ill. ; 24 cm
Collection(s): Nouvelles (Paris. 1998).
Année: 2004
Sujet(s): Récit Chroniques Autobiographie Humour
Genre: Romans
Identifiant: 2-7491-0214-6
Langue(s): français
Résumé: Sous des titres aussi évocateurs que "°Chômedu°", "°Vous voyez bien qu'il est bourré°!°" ou encore " Noël au ballon, Pâques en prison°", Jackie Berroyer recrée l'univers des banlieues des années soixante, ses prolos, sa misère, ses blousons noirs et ses " frangines°", sa violence, et parfois sa tendresse. Ces portraits tragi-comiques initialement parus dans Hara-Kiri, revus et augmentés, composent un tableau saisissant de la vie quotidienne de "°petites gens°" et de figures pittoresques de la "°zone°". La prose à la fois crue et réaliste de Jackie Berroyer évoque par de nombreux aspects celle d'un autre " chantre de la dèche et de la gueule de bois°", Bukowski. Comme ce dernier, il excelle dans l'art de dénicher la poésie au milieu du sordide, l'humour au sein du désespoir. Maurice Pialat manifestait à l'égard de ces récits qu'il a souvent songé à adapter une tendresse toute particulière. On comprendra pourquoi en lisant les mésaventures de ces " perdants magnifiques°".
Prix: 15 EUR
Editeur(s): le Cherche midi éd.

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