Courbet's landscapes : the origins of modern paintinglivresAnnée : 2022Auteur : Paul GalvezEditeur : YALE UNIVERSITY PRESS IAL UNIVERSITI PRDescription : A groundbreaking insight into Gustave Courbet and his bold experiments in landscape painting
Between 1862 and 1866 Gustave Courbet embarked on a series of sensuous landscape paintings that would later inspire the likes of Monet, Pissarro, and Cezanne. This series has long been neglected in favor of Courbet's paintings of rural French life. Courbet's Landscapes: The Origins of Modern Painting explores these astonishing paintings, staking a claim for their importance to Courbet's work and later developments in French modernism.
Ranging from the grottoes of Courbet's native Franche-Comte to the beaches of Normandy, Paul Galvez follows the artist on his travels as he uses a palette-knife to transform the Romantic landscape of voyage into a direct, visceral confrontation with the material world. The Courbet he discovers is not the celebrated history painter of provincial life, but a committed landscapist whose view of nature aligns him with contemporary developments in geology, history, linguistics, and literature. Gustave Courbet, au-delà de la pastorale : ou La tentation de Saint GustavelivresAnnée : 1999Auteur : André Le VotEditeur : L HARMATTAN ARMATANDescription : Consacré à la mutation des formes dans l’œuvre de Gustave Courbet, ce livre aboutit à l'idée que le mur vide de l'Atelier peut se déchiffrer comme une annonciation de la peinture à venir. Dans une critique radicale de la représentation tabulaire, le peintre vit un moment de suprême liberté déjà pressenti par Balzac dans son Chef-d' œuvre inconnu, du même ordre que les Nymphéas de Monet qui, refusant commencement ou fin, s'incurvent en un ovale toujours recommencé. L'enfance de l'art ou L'agnomie de l'art moderne : note sur le réalisme de CourbetlivresAnnée : 2001Auteur : Serge BismuthEditeur : L HARMATTAN ARMATANDescription : Refusé au Salon en 1855, l' oeuvre de Courbet suscite pourtant l'admiration de ses contemporains dont le plus éminent est sans nul doute Delacroix. Il souligne pourtant son amphibologie c'est à dire le double sens interne à ses tableaux. Considéré par le public comme le plus obstiné des réalistes Courbet mit en fête le langage des arts plastiques à un moment où l'idéal formel des Davidiens réglait la tradition académique. Saturne et le Sphinx : Proudhon, Courbet et l'art justicierlivresAnnée : 2002Auteur : Chakè MatossianEditeur : DROZDescription : L'art peut-il se soustraire à la question de la tyrannie ' La servitude volontaire résulte d'effets d'hypnose, elle procède d'un assoupissement de la vigilance du spectateur, entretenu par la croyance en l'image. Il incombe dès lors au philosophe d'en démonter le piège, de départir le plaisir de la représentation du leurre qu'elle produit. En posant le regard sur l'oeuvre de Gustave Courbet, Pierre-Joseph Proudhon, l'anti-tyran, investit cette problématique, qui, d'emblée, est nécessairement celle du rapport au réel.Qu'est-ce qu'une ligne ' Peinture et écriture révèlent, dans leur entrelacement, dans la relation spéculaire de leur tracé, que l'enjeu de l'acte créateur est la liberté, question de vie et de mort. En ce sens, s'il a une destination sociale, l'art ressortit au politique et à la médecine. Ainsi semble-t-il indispensable de repérer l'imaginaire médical et de le définir en tant que moteur de la pensée esthétique de Proudhon.L'examen de la dépendance de l'art au public et à l'espace public peut-il échapper au discours oraculaire ' Comment décider de l'écart entre destin et destination ' Reprenant ce questionnement à la suite de Kant, Proudhon trouve dans le symbole qu'il appelle " plus ou moins mythique " la seule figure possible d'un avenir qui, dans sa plénitude, se dérobera inévitablement. A l'instar de Saturne, Proudhon tranche. En tranchant, il trace. En traçant, il tranche. Le tombeau de Gustave Courbet ou L'enchantement du réellivresAnnée : 2005Auteur : Michel-Claude JalardEditeur : ED DU ROCHER ROCHDescription : Le tombeau est un hommage. Mais il induit également un inventaire, une exploration. Ce qui se donne ici à explorer, c'est le dialogue qu'un peintre, dans et par sa peinture, instaure avec son sentiment du monde, sa situation historique, ses aspirations et son propre personnage. Cet ouvrage n'est donc ni une analyse esthétique, ni l'étude d'un moment d'histoire, ni une biographie, ni une investigation psychologique, mais un libre parcours qui participe un peu de tout cela. Sans oublier, précisément, que tout cela s'ordonne à partir de l'œuvre, point de départ et point d'arrivée, et ne prend son sens que par elle. Courbet et le continent noir : de l'érotisme voyeur à la question du genrelivresAnnée : 2021Auteur : Luigi De PoliEditeur : L HARMATTAN ARMATANDescription : Gustave Courbet a bouleversé les codes établis et ouvert la voie à une peinture novatrice, tant sur le plan formel que par les thèmes abordés. La critique a répété que le peintre comtois s'investissait dans ses toiles et le peintre lui-même avait affi rmé qu'il peignait son existence dans ses oeuvres. Il revenait donc à l'observateur de retrouver ces signes cachés, tous ces petits cailloux qui allaient permettre un dévoilement du parcours intime du peintre. Notre ouvrage se met sur la piste ouverte par les lectures psychanalytiques de l'oeuvre mais il se fonde essentiellement sur l'examen détaillé des tableaux. Ce livre retrace nos tentatives de trouver les codes cachés. Nous sommes parvenus à mettre au jour une constante dans la peinture de Courbet : celle d'une vision double du réel où la dimension masculine compose avec l'apparence féminine du sujet. Ainsi la longue série des couples de femmes nues ne prendra fin qu'avec L'Origine du monde dont nous proposons une analyse nouvelle. Courbet ou La peinture à l'oeillivresAnnée : 2014Auteur : Jean-Luc MarionEditeur : FLAMMARION FLAMARIONDescription : Contrairement à sa légende, Gustave Courbet ne fut ni un peintre réaliste ni un peintre politique, encore moins un peintre provincial. Il fut révolutionnaire, bien sûr, mais en pratiquant, comme les plus grands, "lapeinture à l'oeil". Expression à entendre au double sens d'une peinture gratuite (ne dépendant ni des commandes de l'Etat ni des prix du Salon), et surtout d'une peinture qui ne fait pas "à l'idée" de ce qu'elle aurait déjà prévu - mais qui "voit" dans l'acte même de peindre. D'où une rupture avec le primat du dessin (Ingres), avec l'exotisme (Delacroix), le spectaculaire (Géricault), avec la maîtrise du regard du peintre, cela pour libérer la peine des hommes et l'élégance des choses. [...] Comme Cézanne, qui se revendiquait de lui, Courbet élève les choses à leur dignité dernière : non des objets construits et produits, mais des phénomènes surgissant et se donnant d'eux-mêmes à voir. Courbet, un émeutier au SalonlivresAnnée : 2000Auteur : Christine SagnierEditeur : SEGUIER SEGIDescription : 1848-1870. Deux dates et entre elles vingt-deux années de critiques, et autant de scandales. Ainsi la carrière de Gustave Courbet, volontiers surnommé l'apôtre du réalisme, se caractérise-t-elle par un bras de fer avec la presse. Bras de fer largement dominé par le peintre qui, loin de céder au doute, en dépit de la férocité des critiques, sut jouer de la polémique pour s'en faire une publicité. Gautier, Baudelaire, Planche, Delécluze, Castagnary, About, Bürger, Mantz, ou encore les frères Goncourt... tous eurent leur mot à dire, certains clairvoyants, d'autres de parti pris. Pendant une vingtaine d'années donc, le maître d'Ornans fit l'événement au Salon, tenant la dragée haute au pouvoir en place, pour finalement voir sa carrière s'écrouler en même temps que la colonne Vendôme, la politique ayant eu raison de son talent. Ceux qui s'étaient vainement époumonés face à l'Enterrement, qui avaient plaisanté grassement devant Les Baigneuses, et suffoqué devant Les Demoiselles des bords de la Seine, ceux-là, qui, aveuglés par la haine des idées égalitaires, dénigrèrent jusqu'aux toiles paysagistes du maître, ceux-là donc eurent gain de cause. Mais c'était un combat d'arrière-garde. Déjà, Courbet faisait presque figure de classique. Avec lui avait émergé une nouvelle conscience de l'œuvre d'art. Ses détracteurs n'y pouvaient rien changer, la modernité était définitivement en marche. Gustave CourbetlivresAnnée : 2007Auteur : Jean-Luc SteinmetzEditeur : ED VIRGILE VIRJILDescription : Gustave CourbetlivresAnnée : 2000Auteur : Jules-Antoine CastagnaryEditeur : SEQUENCES SEKANSDescription : Préface rédigée par Castagnary pour l'exposition posthume des œuvres de Courbet à l'Ecole des Beaux-arts en mai 1882. Courbet in perspectivelivresAnnée : 1977Auteur : Petra Ten-Doesschate ChuEditeur : PRENTICE HALL PRANTIS ALDescription :