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Le Moniteur #6300 : Biosourcé, bioclimatique... Les choix de Madec pour un chai du Médoc

Fabien Renou

Ses 69 milliards d'euros de chiffre d'affaires mis à part, c'est une entreprise de travaux comme les autres. A l'instar de ses homologues, elle est avant tout le produit du travail des hommes - et de plus en plus, des femmes -qui la composent : compagnons, ingénieurs, dirigeants… Et, comme …

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Titre(s)
Le Moniteur #6300
Biosourcé, bioclimatique... Les choix de Madec pour un chai du Médoc
Brèves en régions Besançon : observer l'immobilier d'entreprise Marne : Serre confinée pour la vigne du futur Strasbourg : la cathédrale à l'épreuve du climat Reims : Pingat rassemble son ingénierie Meurthe-et-Moselle : collège à rénover à Val de Briey Dijon : un nouvel Ehpad du CHU à 13 M€ Paca : Legendre s'ancre dans le Sud Nice : un Mémorial de la Shoah en 2025 Toulon-Hyères : les efforts payants de l'aéroport Gard : le département sur le pont Chantiers Métropole lilloise : un modèle de déconstruction Collectivités locales Pyrénées-Atlantiques : Anglet anime ses cours d'école Haute-Garonne : à Toulouse, la fraîcheur s'invite en ville Energie Nord et Pas-de-Calais : le Crédit Agricole entre en transitions Energie : de l'air frais pour les données du Cern Géothermie : forer très profond pour chauffer plus longtemps
Entreprises Successions Industrie Industrie : Spurgin cherche la bonne formule pour décarboner Infrastructures Lyon : le tram Teol trace sa route Numérique Numérique : Autodesk et Nemetschek rendent leurs solutions interopérables Projets Orly : les logements ouvrent le bal à Parcs en Scène Saint-Denis : la flèche de la basilique réapparaîtra en 2029 Centre-Val de Loire : 130 M€ pour les formations paramédicales Mulhouse : leçon de béton au collège Saint-Exupéry Grenoble : le pôle enfance des Trembles rénové Réalisations Nantes : l'accouchement difficile du nouveau musée Dobrée Puy-de-Dôme : la piscine des Hautes-Roches tout en sobriété Alpes-Maritimes : à Mougins, le cinéma se met aux balcons Bordeaux : l'ancienne salle des ventes, nouveau lieu d'études Equipement : de la terre crue pour un grand cru
Réglementation Commande publique - Verdissement des contrats et multiplication des motifs d'exclusion : une combinaison efficace ? Contentieux des EnR : la réduction des délais de jugement validée Marchés privés : la réforme du louage d'ouvrage pourrait se faire par ordonnance Espèces protégées - Dans le cadre d'un référé-suspension, la condition d'urgence peut être remplie même si 90 % des travaux ont été réalisés Eolien - Les nuisances entraînant une dépréciation immobilière importante doivent être indemnisées Installation classée - Le passif lié aux émissions de gaz à effet de serre incombe au repreneur même si son offre de reprise l'exclut Résultats de concours Groupe scolaire - CGZ Architecture Travaux publics Prévention : front uni pour lutter contre les heurts engin-piéton Agglomération de Caen : les ouvrages littoraux réhabilités Urbanisme Paris : porte de la Villette : trois équipes pour un dialogue élargi
Auteur(s)
Fabien Renou (651)
Collation
1 vol. (98 p.) ; illustrations et couverture en couleurs ; 27 cm
Année
2024
Sujet(s)
Matériaux biosourcésAménagement du territoire : FranceÉnergie géothermique
Genre
Aménagement
Langue(s)
français
Résumé
Ses 69 milliards d'euros de chiffre d'affaires mis à part, c'est une entreprise de travaux comme les autres. A l'instar de ses homologues, elle est avant tout le produit du travail des hommes - et de plus en plus, des femmes -qui la composent : compagnons, ingénieurs, dirigeants… Et, comme partout ailleurs, tout changement à sa tête donne lieu à une période particulièrement délicate à gérer. Vinci est bien une entreprise comme les autres. Mais - 69 milliards oblige -ce qui s'y déroule est beaucoup plus scruté qu'ailleurs. C'est donc l'un des voiles les plus opaques du BTP français qui vient d'être soulevé : Xavier Huillard passera le flambeau à Pierre Anjolras. Autant pour Vinci que pour NGE, ce sont deux hommes du sérail qui ont été promus L'heureux élu, qui a déjà œuvré à la réunion d'Eurovia et de Vinci Construction, se voit promu directeur général opérationnel du groupe. Un statut transitoire puisque Xavier Huillard devra quitter ses fonctions de directeur général en 2025, même s'il pourra rester président. Cette nomination est donc, si ce n'est l'épilogue, au moins le dénouement d'une intrigue qui agitait à bas bruit les milieux constructo-financiers depuis des années. L'âge du capitaine étant connu, la désignation d'un second était inéluctable. Son aura étant immense, on savait cette nomination ultra- délicate. Son attachement au groupe étant indéniable, on imaginait l'importance que revêt le transfert - même partiel - de ses prérogatives. Autre entreprise, autre culture, mêmes enjeux. NGE - et ses 4,4 milliards d'euros de chiffre d'affaires - vient elle aussi de négocier son passage de témoin. Là aussi, c'est un homme du sérail qui a été promu en la personne de Jean Bernadet. Une transition qui se veut douce et programmée, susceptible de rassurer les investisseurs comme les salariés. Une transition comme il s'en produit des milliers chaque année dans le BTP, avec bien moins de commentaires mais tout autant de précautions. Bien souvent, elle est le fruit de longs mois voire d'années de préparation, de formation et de transmissions. A cette condition, les histoires de successions finissent bien, en général.
Liens internet
https://www.lemoniteur.fr/archives/moniteur.n6300/20119
Prix
14 EUR
Editeur(s)
Éd. le Moniteur
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Auteur principal : Fabien Renou

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