La Symphonie pastorale
André Gide
Affiner le résultat de recherche avec le type de document Livres Afficher tous les documents ayant la date d'édition : , commele document La Symphonie pastorale 1972Afficher tous les titres de la collection "".Collection Folio.Rechercher tous les documents ayant comme Sujet: Journal intimeRechercher tous les documents ayant comme Sujet: classiqueRechercher tous les documents ayant comme Sujet: Roman d'amourRechercher tous les documents ayant comme Sujet: 20ème siècleRechercher tous les documents ayant comme Sujet: Adapté au cinémaRechercher tous les documents ayant comme Genre: Littérature classique
Un pasteur recueille une jeune orpheline aveugle, farouche, et l’éduque en lui donnant une vision magnifiée du monde. Premier péché ? Puis il tombe amoureux d’elle, son fils aussi… Poussant la partition vers la tragédie ? Avec l’éclat du style d’André Gide, ce classique nous fait vibrer jusqu’à la dernière …
Merci de patientier...
Exemplaires
Merci de patientier
Description
- Titre(s)
- La Symphonie pastorale
- Auteur(s)
- André Gide (Auteur)
- Collation
- 157 p. ; couv. ill. en coul. ; 18 cm
- Collection(s)
- Collection Folio.
- Année
- 1972
- Sujet(s)
- Journal intimeclassiqueRoman d'amour20ème siècleAdapté au cinéma
- Genre
- Littérature classique
- Identifiant
- 2-07-036018-0
- Langue(s)
- français
- Résumé
- Un pasteur recueille une jeune orpheline aveugle, farouche, et l’éduque en lui donnant une vision magnifiée du monde. Premier péché ? Puis il tombe amoureux d’elle, son fils aussi… Poussant la partition vers la tragédie ? Avec l’éclat du style d’André Gide, ce classique nous fait vibrer jusqu’à la dernière page. « [...] je n'ai point encore dit l'immense plaisir que Gertrude avait pris à ce concert de Neuchâtel. On y jouait précisément La symphonie pastorale. Je dis "précisément" car il n'est, on le comprend aisément, pas une œuvre que j'eusse pu davantage souhaiter de lui faire entendre. Longtemps après que nous eûmes quitté la salle de concert, Gertrude resta encore silencieuse et comme noyée dans l'extase. - Est-ce que vraiment ce que vous voyez est aussi beau que cela ? dit-elle enfin. [...] - Ceux qui ont des yeux, dis-je enfin, ne connaissent pas leur bonheur. - Mais moi qui n'en ai point, s'écria-t-elle aussitôt, je connais le bonheur d'entendre.» - Il ne faut pas chercher à m'en faire accroire, voyez-vous. D'abord parce que ça serait très lâche de chercher à tromper une aveugle... Et puis parce que ça ne prendrait pas, ajouta-t-elle en riant. Dites-moi, pasteur, vous n'êtes pas malheureux, n'est-ce pas? Je portai sa main à mes lèvres, comme pour lui faire sentir sans le lui avouer qu'une partie de mon bonheur venait d'elle, tout en répondant: - Non, Gertrude, non, je ne suis pas malheureux. Comment serais-je malheureux?
- Liens internet
- Extrait
- Prix
- 4 F
- Editeur(s)
- Gallimard
Merci de patientier...
Médias
Merci de patientier
Merci de patientier...