Femme, j'écris ton nom.. : guide d'aide à la féminisation des noms de métiers, titres, grades et fonctions
Livres
ISBN : 978-2-11-004274-3
cab : 000004432301
Année : 1999
Auteur : Institut national de la langue française
Editeur : LA DOCUMENTATION FRANCAISE DOKUMANTASION FRANSAIS
Description : Le français serait-il incapable de féminiser ses noms de métiers, titres, grades et fonctions ? L'ancienne langue le faisait couramment ; la langue d'aujourd'hui continue à le faire pour la plupart des métiers. Pour certaines professions seulement des résistances sociales sont apparues à partir du XVIIe siècle. Pourtant le français dispose de ressources morphosyntaxiques qui permettent une féminisation conforme au génie de la langue dans quasiment tous les cas. Ce guide de plus de 2 000 entrées masculin/féminin aidera à trouver et former des termes féminins en un temps où les femmes accèdent à tous les secteurs d'activité et à tous les niveaux de responsabilité. Les dénominations au féminin, déjà en progression constante, reflètent l'évolution de la société.

L'évolution du plurilinguisme : d'une Suisse quadrilingue à une Suisse multilingue
Livres
ISBN : 978-3-908102-51-9
cab : 000004431101
Année : 1997
Auteur : Urs Dürmüller
Editeur : PRO HELVETIA ELVETIA
Description : La situation sociolinguistique en Suisse est marquée par le plurilinguisme qui est, d’une part, un fait démographique de par la présence de quatre communautés linguistiques traditionnelles ainsi que d’un nombre important de locuteurs de langues de migration et, d’autre part, un fait politique de par les bases légales de la reconnaissance de quatre langues au niveau national et de la reconnaissance du bi- ou trilinguisme dans certaines régions ou localités. 2En ce qui concerne les observations démographiques de la distribution des langues dans la population, nous pouvions considérer jusqu’en 2000 les recensements traditionnels qui collectionnaient les données de l’entière population résidente permanente, en incluant des questions portant sur les langues. Jusqu’en 1990, il s’agissait d’une seule question concernant la langue définie comme « langue maternelle ». Lors du recensement de 1990 a été prise la décision de modifier la question en substituant « langue maternelle » par « langue principale » [1] [1] La question actuelle est la suivante : « Quelle est votre…. L’innovation la plus importante introduite en 1990 (à côté de la volonté de substituer le concept très ambigu de la langue maternelle par le concept potentiellement moins ambigu de la langue principale [2] [2] Dans le cas de la « langue maternelle », il était difficile de…) était l’introduction de plusieurs questions concernant les langues « d’usage ». Par ces questions on visait (et on vise toujours) à une collecte de déclarations sur les comportements de la population dans les domaines d’usage de la famille ainsi que du travail ou du lieu d’apprentissage [3] [3] La deuxième question est la suivante : « Quelle/s langue/s…. Deux autres aspects innovateurs de cette question consistent en la possibilité de donner des réponses multiples (et d’indiquer ainsi des comportements plurilingues dans les deux domaines observés) et d’indiquer également l’usage des dialectes alémaniques ou italiens ainsi que des patois des régions francophones. Les relevés menés après 2000 ont élargi la possibilité des réponses multiples aussi à la question concernant la langue principale. En même temps, les enquêtes sont passées de la méthode d’un véritable recensement (destiné à la population entière) à celle d’une enquête par échantillonnage (dont les frais devraient être inférieurs mais qui comporte une perte de données). L’enquête par échantillonnage permet, en outre, de proposer une enquête chaque année au lieu de tous les dix ans comme auparavant. Les résultats des enquêtes annuelles peuvent être accumulés afin d’obtenir des données plus significatives sous forme de « relevé structurel ». Un autre type d’enquêtes est désigné comme « enquêtes thématiques », réalisées selon des fréquences variables. Actuellement, l’analyse des relevés structurels 2010-2012 de Pandolfi, Casoni et Bruno (2016) [4] [4] Pour l’analyse des relevés précédents, nous renvoyons à Lüdi et… offre une base pour la description des développements démolinguistiques en Suisse. 3Pour une première observation basée sur les recensements, nous proposons de considérer les données générales concernant la langue principale. Comme nous le voyons dans le tableau 1, la langue la plus présente est l’allemand, suivi des deux autres langues officielles, du français et de l’italien. Le romanche, par contre, est déclaré par 36 000 personnes environ et, en chiffres absolus, il est donc moins présent que des langues non nationales comme l’anglais (qui constitue l’une des langues principales de 4,5% de la population. Il faut souligner qu’il est possible d’indiquer plusieurs langues en répondant à cette question et que le total dépasse par conséquent 100%).

Remarques sur la langue française : utiles à ceux qui veulent bien parler et bien écrire
Livres
ISBN : 978-2-85184-127-8
cab : 000004185601
Année : 1981
Auteur : Claude Favre de Vaugelas
Editeur : EDITIONS CHAMP LIBRE EDISION CHAN LIBR
Description : L'autorité de Vaugelas en matière de langue française subsista tout le Dix-septième siècle. C'est dans les Remarques sur la langue française (Paris, 1647) que Vaugelas donna les règles de la langue. Il s'y conformait à l'usage, mais à l'usage de la cour

Le Français et les siècles
Livres
ISBN : 978-2-7381-0015-3
cab : 000004413301
Année : 1987
Auteur : Claude Hagège
Editeur : O JACOB JAKOB
Description : Claude Hagège montre comment l'enjeu s'est déplacé de la pureté interne du français, moins menacée qu'on ne le croit, vers sa promotion externe, moins réelle qu'on ne le désire. Il nous aide à prendre conscience d'un fait capital de notre temps : aujourd'hui, la langue française n'est plus la propriété exclusive de la France ; elle est devenue une affaire mondiale.