Le Déserteur et autres récits
Livres
ISBN : 978-2-07-037012-2
cab : 1023580000016
Année : 1978
Auteur : Jean Giono
Editeur : GALLIMARD GALIMAR
Description : Il y a un siècle, un Français réfugié dans les montagnes du Valais, y créait de merveilleuses images religieuses dans la tradition populaire. Qui était-il? On ne sait. On racontait que c'était un soldat qui avait tué son capitaine, ou qu'il avait été notaire, ou même évêque. On l'appelait le Déserteur.Jean Giono, abandonnant la Provence pour aller enquêter dans le Valais, a recréé l'histoire du Déserteur et en fait ainsi un extraordinaire personnage de roman

La Chasse au bonheur
Livres
ISBN : 978-2-07-038323-8
cab : 1023560000012
Année : 1990
Auteur : Jean Giono
Editeur : GALLIMARD GALIMAR
Description : Dans cette ultime chronique qu'il a écrite pour les journaux, Jean Giono jongle avec le présent et le passé : le moindre incident fait jaillir, comme une source intarissable, des souvenirs, des histoires, des personnages. Ces textes, datés des années 1966 à 1970, sont empreints de bonhomie, d'une philosophie souriante, parfois un peu passéiste. Cela n'exclut pas l'émotion, et l'on trouve, dans La chasse au bonheur, les plus belles pages, peut-être, que Giono ait jamais écrites sur sa mère. Art de vivre, de voyager, de se nourrir, de se faire des amis, cet ouvrage s'achève sur une chronique consacrée aux parfums, le dernier texte de Giono. " Les parfums permettent d'affronter - et souvent de les vaincre - les mystères les plus terribles ", disait-il ici. C'était quelques semaines avant sa mort.

Le noyau d'abricot : et autres contes
Livres
ISBN : 978-2-246-78595-8
cab : 7203139
Année : 2011
Auteur : Jean Giono
Editeur : B GRASSET GRAS
Description : Voici quatre contes inédits par l'auteur du Hussard sur le toit. Quatre contes délicieux, d'inspiration persane pour les uns, orientales pour les autres. Dans Le noyau d'abricot, afin de se venger des moqueries de son ancien amant le djinn Nûr, Paquette le transforme en noyeau d'abricot et le suspend à un arbre... Dans Le buisson d'hysope, on apprendra l'origine des oliviers de Provence. Le prince qui s'ennuyait nous montre ce qu'il arrive aux méchants princes quand ils se moquent des fées, et grâce à La princesse ayant envie, nous découvrirons les pouvoirs des grains de raisin contre l'ennui. Les plaisirs facétieux d'un grand conteur du XXe sièle.

L'homme qui plantait des arbres
Livres
ISBN : 978-2-07-051785-5
cab : AFN0001030
Année : 1998
Auteur : Jean Giono
Editeur : GALLIMARD JEUNESSE GALIMAR JENES
Description : En 1953, le magazine américain Thé Reader's Digest demanda à Giono d'écrire quelques pages pour la rubrique bien connue "Le personnage le plus extraordinaire que j'aie jamais rencontré ". Quelques jours plus tard, le texte tapé à la machine, était expédié, et la réponse ne se faisait pas attendre : réponse satisfaite et chaleureuse, c'était tout à fait ce qui convenait. Quelques semaines passèrent, et un beau jour Giono descendit de son bureau. Son visage reflétait la stupéfaction. Il venait de recevoir une deuxième lettre du Reader's Digest, d'un ton bien différent de la première : on l'y traitait d'imposteur... Giono trouvait la situation cocasse, mais ce qui prédominait en lui à l'époque, c'est la surprise qu'il puisse exister des gens assez sots pour demander à un écrivain, donc inventeur professionnel, quel était le personnage le plus extraordinaire qu'il ait rencontré, et pour ne pas comprendre que ce personnage était forcément sorti de son imagination...

Solitude de la pitié : nouvelles
Livres
ISBN : 978-2-07-036330-8
cab : 1020190000016
Année : 1973
Auteur : Jean Giono
Editeur : GALLIMARD GALIMAR
Description : « Viens, suis-moi. J'ai ici ma vigne et mon vin ; mes oliviers, et je vais surveiller l'huile moi-même au vieux moulin... Tu as vu l'amour de mon chien ? Ca ne te fait pas réfléchir, ça ?... Viens, venez tous, il n'y aura de bonheur pour vous que le jour où les grands arbres crèveront les rues, où le poids des lianes fera crouler l'obélisque et courber la Tour Eiffel ; où, devant les guichets du Louvre, on n'entendra plus que le léger bruit des cosses mûres qui s'ouvrent et des graines sauvages qui tombent ; le jour où, des cavernes du métro, des sangliers éblouis sortiront en tremblant de la queue. »