Touchez pas au grisbi !
Livres
ISBN : 978-2-07-038156-2
cab : 000003861401
Année : 1989
Auteur : Albert Simonin
Editeur : GALLIMARD GALIMAR
Description : Max-le-Menteur pensait se classer parmi les hommes de poids du milieu des malfrats parisiens. Il ne lui manquait pas grand chose. Mais l'assassinat de Fredo vient tout remettre en cause. Qui a tué ce chef de bande ? Riton, son ennemi héréditaire, et meilleur ami de Max ? En son absence, c'est ce que tout le monde croit. Et pour les lieutenants de Fredo, la vengeance va être simple : tuer Max. Entre la police qui cherche Riton et les tueurs fous à ses trousses, Max n'aura pas une minute à lui. Ce livre a fait l'effet d'une véritable bombe dans l'histoire du polar des années cinquante. Simonin y lançait un style argotique haut en couleur et en métaphores, apportant le ton neuf et enjoué qui lui est propre. Préfacé par Pierre Mac Orlan, de l'Académie française, ce livre a obtenu le prix des Deux Magots. C'est le premier d'une longue série de romans empreints d'humour et d'humanité ayant pour cadre le milieu des truands français. Ils valurent à l'auteur le surnom de "Chateaubriand de la pègre" par Léo Malet. Quant à Touchez pas au grisbi, le film de Jacques Becker avec Jean Gabin, c'est évidemment un must !

Des anges mineurs : narrats
Livres
ISBN : 978-2-02-044461-3
cab : 000004384801
Année : 2001
Auteur : Antoine Volodine
Editeur : ED DU SEUIL SEIL
Description : Des anges mineurs Voyageurs, chamans, musiciens ou vagabonds, ils sont les acteurs hallucinés d'une ère à bout de souffle. Même condamnés, ils continuent de rêver leur vie, de concevoir des fictions poétiques, heureuses et amoureuses, sur fond d'humour noir. À la fois sensuels et délirants, ces quarante-neuf instantanés dessinent le portrait d'une humanité qui s'étiole. « Ma mort a cent milliards d'années, et ma vie a quarante-huit ans. » « Des anges mineurs est un livre magique dont la force est d'envoûter le lecteur, de l'amener par des opérations chamaniques à vivre ses derniers jours, à plonger dans ce monde en apnée. » Libération