Je n'ai pas toujours été un vieux con : roman
Livres
ISBN : 978-2-08-133727-5
cab : 7203118
Année : 2014
Auteur : Alexandre Feraga
Editeur : FLAMMARION FLAMARION
Description : "On ne devrait jamais finir ses jours dans des draps en coton souples comme du carton, à suçoter des tuyaux comme des chiards et à a boulotter de la morphine. Je me suis toujours vu ailleurs, agonisant dans les bras d'une femme, évaporé dans le ciel après un beau feu." Le "vieux con" qui vous parle passe pour un infatigable grincheux. Aux Primevères, la maison de retraite où il vient d'échouer, Léon renoue pourtant avec ce qu'il a toujours été. Ancien baroudeur, braqueur de banques, amoureux transi, cet amateur de coups tordus va, par amitié pour deux compagnons d'infortune, jouer un dernier tour à ceux qui croient qu'un vieux, ce n'est jamais qu'un... vieux.

Le Tiers temps
Livres
ISBN : 978-2-07-293624-1
cab : AFA00542
Année : 2021
Auteur : Maylis Besserie
Editeur : GALLIMARD GALIMAR
Description : La 4ème de couverture indique : "« Au cours de mon existence, il me semble que peu d¹êtres sont parvenus à me supporter. Je veux dire : à me supporter d¹une manière qui me soit supportable. Il faut dire que je ne supporte pas grand-chose. » Au Tiers-Temps, petite maison de retraite parisienne, réside un grand échalas au visage sombre mais aux yeux encore perçants. Ce vieux monsieur s¹appelle Samuel Beckett. Attendant la fin, presque devenu l¹un de ses propres personnages, l¹écrivain se souvient. De son amitié avec James Joyce, de leur Irlande natale, de la complicité avec son éditeur, des premières représentations de Godot, de la grâce de l¹écriture face à la déchéance d¹un corps à bout de souffle. Éclairant ses derniers jours, l¹humour intact du vieux Sam, rageur et ravageur, se mêle à la plus poignante mélancolie."

Le tiers temps : roman
Livres
ISBN : 978-2-07-287839-8
cab : AFN0002225
Année : 2020
Auteur : Maylis Besserie
Editeur : GALLIMARD GALIMAR
Description : Rue Rémy-Dumoncel, dans le quatorzième arrondissement de Paris, se trouve un immeuble blanc - une modeste maison de retraite baptisée Le Tiers-Temps. Au milieu de la cour recouverte d'un gazon en plastique, un arbre solitaire. Parmi les résidents venus vivre ici leurs derniers mois, un grand échalas, au visage sombre mais aux yeux encore perçants, joue avec ses souvenirs où se mêlent deux langues, l'anglais de son Irlande natale et le français de son exil littéraire. Ce vieux monsieur s'appelle Samuel Beckett. Ce premier roman dévoile un Beckett surprenant, attendant la fin (un comble), devenu pour ainsi dire l'un de ses propres personnages. Avec une délicatesse et une justesse de chaque instant, Maylis Besserie fait résonner, par la fiction, la voix caustique et lucide du grand Sam. Le charme opère et l'on voit défiler les épisodes qui ont marqué sa vie : l'amitié avec son maître James Joyce ; sa liaison avec la fille de ce dernier, Lucia ; la complicité avec son éditeur, Jérôme Lindon ; Les premières représentations de Godot ; la grâce de l'écriture et la déchéance d'un corps à bout de souffle ; mais aussi la vie quotidienne au Tiers-Temps, où Beckett a réellement résidé, mise en scène à travers les rapports d'infirmiers ou de médecins, et les monologues du vieux Sam, où l'humour, intact, rageur et ravageur, se mêle à la plus poignante mélancolie. On est saisi par une émotion grandissante à mesure que le roman accompagne le grand Irlandais vers son dernier silence.

Bonjour vieillesse
Livres
ISBN : 978-2-7067-1218-0
cab : 7203546
Année : 2015
Auteur : Véronique Dufief
Editeur : SALVATOR
Description : Il y a toujours eu de vieilles personnes dans ma vie, comme dans les films de Miyazaki. J'ai toujours eu des amis de tous les âges, bien avant d'avoir fait, à 25 ans, l'expérience anachroniquement précoce de la vieillesse, de ses grâces et de ses servitudes. Nous vivons le plus souvent en avance ou en retard de nous-mêmes, sans toujours trop savoir quelle est notre horloge intérieure, ni comment elle fonctionne. C'est presque une expérience rare de trouver midi à sa porte. Généralement, le démon de midi nous pousse à demander sans cesse l'heure autour de nous, comme si les pendules des autres étaient réglées sur un temps objectif, capable d'apaiser notre inquiétude de vivre. C'est ainsi qu'à 50 ans, on se prend à regarder d'un étrange regard l'adolescence, et cette gloire dont elle se nimbe lorsque, au fil d'un insensible affaissement, commencent à s'étrécir nos paupières.