Mademoiselle Liberté
Livres
ISBN : 978-2-07-042796-3
cab : AFN0000938
Année : 2003
Auteur : Alexandre Jardin
Editeur : GALLIMARD GALIMAR
Description : Liberté a dix-huit ans. Elle refuse ce que la plupart des femmes tolèrent : un amour imparfait, sans folie. Inapte aux compromis, Mademoiselle Liberté ne conçoit pas d'être raisonnable, de se contenter d'une petite part de bonheur. L'infini est sa mesure, l'absolu son oxygène. Animée par un goût prodigieux pour le plaisir, elle bondit vers ses appétits.Horace, le proviseur de son lycée, sait lui aussi vivre la vie : ce furieux ne se repose que dans l'hyperbole. Marié à une épouse professionnelle, il rêve de foncer dans un destin superlatif.Liberté décide de chercher avec lui la perfection : elle ne se contentera pas d'un brouillon de liaison, elle exigera la passion intégrale, portée à son comble, fignolée jusqu'au délire.Ces deux forcenés tenteront un amour idéal. Ils désirent un chef-d''uvre sinon rien.

Le roman des Jardin
Livres
ISBN : 978-2-246-69281-2
cab : 1033340000019
Année : 2005
Auteur : Alexandre Jardin
Editeur : GRASSET GRAS
Description : Depuis longtemps, Alexandre Jardin écrit avec un immense succès... des romans sages, conjugaux, romantiques. On sentait, chez lui, un désir de « normalité » ou de bons sentiments. Pourquoi Alexandre avait-il envie, à ce point, d'être « normal » ' La réponse est dans ce livre. Et elle est jubilatoire... Dans ce récit, Alexandre raconte donc, avec une drôlerie de chaque page, qu'il a voulu être « normal », pour échapper à sa tribu de fous, de dingues majestueux, d'artistes dangereux. Il y avait là son père, bien sûr, dit « Le Zubial », qui déposait des chèques en blanc signés dans des cabines téléphoniques. Son grand-père, le Nain jaune, qui finançait la droite et la gauche, après avoir été un dignitaire de Vichy ; sa grand-mère, dite « l'Arquebuse », maîtresse officielle de Paul Morand et amoureuse impénitente ; il y avait sa propre mère dont les amours diverses inspirèrent à Claude Sautet (dont elle eut un fils) l'inoubliable César et Rosalie ; il y avait surtout « Zouzou », la gouvernante, celle qui sert de fil conducteur à cette épopée d'une grande famille plutôt bizarre et qui coucha avec plusieurs générations de Jardin - qu'on appelle aussi les « doubles rates » tant ils courent frénétiquement après le bonheur... On voit également, dans cette galerie, des habitués haut en couleur : un ami zoophile et héroïnomane ; Maurice Couve de Murville dont le sérieux devient un prétexte d'hilarité ; Alain Delon dans son propre rôle - et tant d'autres ici mis en scène dans des chapitres qui sont, chacun, de véritables morceaux de bravoure...