Les dimanches d'un bourgeois de Paris : et autres aventures parisiennes
Livres
ISBN : 978-2-8420-5854-8
cab : AFN0000455
Année : 2004
Auteur : Guy de Maupassant
Editeur : ED MILLE ET UNE NUITS MIL UN NUI
Description : Repaire de l'ostentation, fourmillant d'enseignes, Paris étale ses séductions. Malgré l'affairement généralisé, ce monde est un leurre pour Guy de Maupassant qui, dès 1880, démasque les fantasmes de la vie parisienne : la capitale est surtout le lieu des déceptions et il paraît difficile de s'y faire une place... Chacun cherche à tout prix à s'étourdir pour ne point se laisser gagner par l'ennui et le désespoir. A travers quatre nouvelles (« Les Dimanches d'un bourgeois de Paris », « Une Aventure parisienne », « Promenade » et « L'Endormeuse »), Maupassant montre le poids des conventions bourgeoises et les dérapages du dérèglement nerveux très fin-de-siècle.

Bel-Ami
Livres
ISBN : 978-2-253-00900-9
cab : AFA01575
Année : 1983
Auteur : Guy de Maupassant
Editeur : LIBRAIRIE GENERALE FRANCAISE LIBRAIRI JENERAL FRANSAIS
Description : A qui Georges Duroy doit-il son irrésistible ascension ' Aux femmes séduites par sa jeunesse et sa beauté. La petite fille de l'une de ses maîtresses le surnommera Bel-Ami. Et ce fils d'aubergistes normands, à Canteleu, deviendra baron Du Roy de Cantel. L'amitié lui ouvrira la carrière journalistique. L'amour lui donnera l'argent et la gloire. Maupassant a été journaliste. Il a connu ce monde parisien du xixe siècle, les salles de rédaction qui font et défont les ministères, et leurs annexes, les salons mondains où naissent intrigues et liaisons. Ses portraits de femmes dévorées d'amour ou d'ambition, ses tableaux de la vallée de la Seine à Rouen, ses fiacres, avenue du Bois de Boulogne, sont oeuvre de peintre. Maupassant était un maître du récit.

Le lys dans la vallée
Livres
ISBN : 978-2-07-031626-7
cab : 1018560000018
Année : 2004
Auteur : Honoré de Balzac
Editeur : GALLIMARD GALIMAR
Description : «Comme autrefois vous allez me rendre à la santé, Félix, et ma vallée me sera bienfaisante. Ils croient que ma plus vive douleur est la soif. Oh ! oui, j'ai bien soif, mon ami. L'eau de l'Indre me fait bien mal à voir, mais mon c'ur éprouve une plus ardente soif. J'avais soif de toi, me dit-elle d'une voix plus étouffée en me prenant les mains dans ses mains brûlantes et m'attirant à elle pour me jeter ces paroles à l'oreille : mon agonie a été de ne pas te voir !»