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<iframe height="200" style="border: 0px; overflow:hidden" width="100%" scrolling="no" title="Nouveau" src="https://new.mabib.fr/bibliotheque/java/kiosque?titre=Nouveau&style_liste=diaporama&nb_notices=20&only_img=1&aleatoire=0&tri=1&nb_analyse=50&op_hauteur_img=150&op_transition=fade&op_largeur_img=95&op_hauteur_boite=200&op_captions=0&op_autoplay=0&op_visible=0&op_speed=0&op_auto=0&op_scroll=1&rss_avis=1&id_catalogue=5&id_panier=&profil_redirect=&boite=boite_de_la_division_gauche&id_module=7&profile_id=1&id_user=0&styles_reload=0&type_module=KIOSQUE&division=1&id_profil=1&vue=diaporama"> </iframe>Roger Borniche, né le à Vineuil-Saint-Firmin (Oise) et mort le à Mougins (Alpes-Maritimes), est un policier français qui a participé à la répression du grand banditisme, affirmant avoir participé à cinq cent soixante-sept arrestations. Aussi écrivain, il est l'auteur de vingt-huit livres publiés.
Roger Jules Alphonse Borniche est le fils de Léon Louis, peintre en bâtiment, qui a participé à la bataille de Verdun pendant la Première Guerre mondiale, et de Marie Henriette Marguerite Barouland.
À la fin des années 1930, Roger s'engage dans une carrière d'artiste de music-hall : il est d'abord comique troupier en 1937, puis chansonnier au Caveau de la République.
Mobilisé au début de la guerre (septembre 1939), il reste dans l'armée d'armistice après la défaite de juin 1940 et n'en est démobilisé qu'au bout de trente-six mois. Il est alors engagé au service de la sécurité du grand magasin Le Printemps.
En , il est reçu au concours d'inspecteur de la Police Nationale, ce qui lui permet d'échapper au service du travail obligatoire, et est nommé inspecteur stagiaire à la 5e brigade de police de sûreté, la section politique chargée de la répression des résistants, à Orléans. Après avoir participé à deux grandes opérations contre des maquisards, il déserte le . Traqué à son tour par la police, il réussit à se cacher jusqu'à la libération de Paris (19-25 août 1944), exerçant de nouveau le métier d'artiste.
Par arrêté du , il est réintégré dans ses fonctions d'inspecteur stagiaire et affecté à la 1re brigade mobile de la police judiciaire de Paris (42, rue de Bassano). À la fin de l'année 1945, il passe à la Sûreté nationale, où il va rester onze ans.
Il quitte la Sûreté nationale en 1956, avec l'autorisation du ministre de l'Intérieur d'exercer la profession d’agent privé de recherches. Il ouvre un cabinet d'enquêtes privées spécialisé dans les fraudes aux assurances (son fils Christian, qui prit sa succession à la tête de ce cabinet, est à l’origine du diplôme professionnel d'enquêteur privé, créé à l'université Panthéon-Assas).
À partir des années 1970, il écrit aussi des livres, dont certains, inspirés par sa lutte contre le gang des Tractions Avant et en particulier contre Émile Buisson, un braqueur psychotique, Flic Story, Le Gang et L'Indic sont très vite portés à l'écran.
Après avoir résidé pendant de longues années[Quand ?] en Californie, Roger Borniche rentre en France en 2015 et s’installe avec son épouse Michèle à Cannes (Alpes-Maritimes), où il meurt le à l'âge de 101 ans .
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