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<iframe height="200" style="border: 0px; overflow:hidden" width="100%" scrolling="no" title="Nouveau" src="https://new.mabib.fr/bibliotheque/java/kiosque?titre=Nouveau&style_liste=diaporama&nb_notices=20&only_img=1&aleatoire=0&tri=1&nb_analyse=50&op_hauteur_img=150&op_transition=fade&op_largeur_img=95&op_hauteur_boite=200&op_captions=0&op_autoplay=0&op_visible=0&op_speed=0&op_auto=0&op_scroll=1&rss_avis=1&id_catalogue=5&id_panier=&profil_redirect=&boite=boite_de_la_division_gauche&id_module=7&profile_id=1&id_user=0&styles_reload=0&type_module=KIOSQUE&division=1&id_profil=1&vue=diaporama"> </iframe>Gérard Guégan, né le à Marseille, est un écrivain et journaliste français, ancien critique cinématographique. Il a écrit sous divers pseudonymes.
Gérard Guégan adhère en mai 1958 à l’Union des étudiants communistes. Quelque temps après, il crée Subjectif, une revue de poésie et de cinéma où se mêlent les influences marxistes et surréalistes.
En 1961, en même temps qu’il est engagé par le quotidien La Marseillaise, il fonde Contre-Champ. En novembre 1963, « sans-diplôme proclamé », il rejoint à Paris le service Informations générales de L’Humanité et collabore, à partir de l'année suivante, aux Lettres françaises.
À l’automne 1965, répondant à l’invitation de Jacques Rivette, il entre aux Cahiers du cinéma en même temps que deux autres membres de Contre-Champ (Jean-Pierre Léonardini et Michel Pétris). Un an plus tard, en 1966, il est l'un des quatre principaux signataires d'un Dictionnaire du cinéma initié aux côtés de Raymond Bellour, de Jean-Jacques Brochier et de Claude-Jean Philippe. Par ailleurs, il écrit la chanson Mao Mao pour La Chinoise de Jean-Luc Godard.
En mai 1968, alors qu’il vient de terminer en grand secret le récit du procès politique intenté en 1952 par le PCF à André Marty et Charles Tillon, il rompt avec le communisme et se rallie à l’ultra gauche en fondant le groupe Prisu.
L’année d’après, il crée avec Gérard Lebovici et Alain Le Saux les éditions Champ Libre. C’est là qu’il fait paraître en août 1973 Cahiers du Futur, revue mélangeant théorie et cartoons, puis, en mai 1974, son premier roman, La Rage au cœur : celui-ci obtient un vif succès, si bien que, l’été venu, Raoul Sangla engage Guégan comme acteur dans La Croisée aux côtés de Brigitte Fossey.
En novembre de la même année, Guégan et ses amis sont licenciés des éditions Champ Libre par Gérard Lebovici, qui les accuse d'avoir voulu prendre le contrôle de sa maison d'édition. Guégan livre une autre version de cet événement. Ensuite, à la demande de Jean-Claude Fasquelle, il relance Le Sagittaire, la célèbre maison d'édition surréaliste, en compagnie d'Alain Le Saux, de Raphaël Sorin et d'Annie Le Brun (durant quelques semaines) que remplacera Olivier Cohen. Lui-même, Guégan, continuera, au fil des années, à publier des romans, une revue (Subjectif II), à traduire Charles Bukowski et à faire de la télévision avec Michel Lancelot et Pierre-André Boutang. Il écrit aussi le scénario du premier téléfilm de Jean-Daniel Verhaeghe, Le Feu dans l’eau (1979). Deux ans plus tard, en 1981, il adaptera pour Roger Planchon D'un château l'autre.
Petit à petit, il se retire de la scène parisienne pour se consacrer entièrement à l’écriture de ses livres. Toutefois, outre les chroniques d’humeur qu'il a longtemps données aux Nouvelles littéraires et au Matin de Paris et sa participation, en tant que relecteur, au Canard enchaîné (1990-2000) ; il collabore jusqu'en aux pages littéraires de Sud Ouest Dimanche.
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Source : Article Gérard Guégan de WikipédiaContributeurs : voir la liste
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