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<iframe height="200" style="border: 0px; overflow:hidden" width="100%" scrolling="no" title="Nouveautés" src="https://new.mabib.fr/aemc/java/kiosque?titre=Nouveaut%C3%A9s&style_liste=diaporama&nb_notices=20&only_img=1&aleatoire=0&tri=1&nb_analyse=50&op_hauteur_img=150&op_transition=fade&op_largeur_img=95&op_hauteur_boite=200&op_captions=0&op_autoplay=0&op_visible=0&op_speed=0&op_auto=0&op_scroll=1&rss_avis=1&id_catalogue=0&id_panier=0&profil_redirect=&boite=boite_de_la_division_gauche&id_module=7&id_user=0&type_module=KIOSQUE&profile_id=1&division=1&id_profil=1&vue=diaporama"> </iframe>Alexandre Micha, né le à Montélimar et mort le à La Verrière, est un critique littéraire et médiéviste français.
Alexandre Micha grandit dans une famille de musiciens. Il épouse le Berthe Rapp dont il a quatre enfants, Françoise, Philippe, Hugues et Anne, qui tous les quatre choisissent l’enseignement. Après des études secondaires à Montélimar et des études supérieures à Lyon, il passe grâce à une bourse l’agrégation de lettres. Reçu en 1929, il est professeur au collège de Perpignan (1926-1927), au lycée de Bourg-en-Bresse (1929-1930), au lycée Lamartine de Mâcon (1931-1933), au lycée du Parc à Lyon (1933-1946), où il a pour ami Vladimir Jankélévitch.
Tout en enseignant, il prépare ses thèses de doctorat sur La tradition manuscrite des romans de Chrétien de Troyes (Droz, 1939) et Prolégomènes à une édition de Cligès (Droz, 1939), qu’il soutient en .
Nommé d’abord à l’université de Caen (1946-1948), il la quitte pour celle de Strasbourg où il occupe pendant dix ans, de 1948-1958, la prestigieuse chaire de langue et de littérature françaises du Moyen Âge et de la Renaissance. Il revient à Caen pour diriger, de 1958 à 1964, le Collège universitaire littéraire de Rouen, qui devient en 1964, sous son impulsion, la Faculté des lettres de la nouvelle Académie de Rouen. Ensuite, avec le germaniste P. Grappin, le dix-huitiémiste P. Vernière, le latiniste J. Beaujeu et le psychologue D. Anzieu, il fait partie, en 1964, du petit groupe de professeurs qui créent la Faculté des lettres de Nanterre. Enfin, il est élu en à la Sorbonne[Laquelle ?], pour occuper la chaire d’histoire de la littérature française du Moyen Âge; il y achève sa carrière en . Commence alors pour lui une autre période de sa vie, très féconde en livres et en articles.
De 1967 à 1975, il enseigne à l’École normale supérieure de Saint-Cloud dont il préside aussi le concours d’entrée. Pendant douze ans, il dirige, aux éditions Droz, les Publications romanes et françaises. Il est vice-président de la section française de la Société internationale arthurienne. Il reçoit en 1987 le prix Excalibur pour l’ensemble de son œuvre, et on lui offre des « Mélanges » à deux reprises, pour ses soixante-dix ans et ses quatre-vingt-dix ans.
Il organise en 1954, à Strasbourg, avec le germaniste J. Fourquet, un colloque sur les romans du Graal qui réunit des spécialistes tels que M. Roques, J. Frappier, M. Delbouille, W. Roach, P. Zumthor, W. Kellermann, B. Mergell, J. Fourquet, R. Loomis, J. Marx. Les actes de ce colloque sont publiés sous le titre Les romans du Graal aux XIIe et XIIIe siècles. Strasbourg, - (Éd. du CNRS, 1956).
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Source : Article Alexandre Micha de WikipédiaContributeurs : voir la liste
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