Voulez-vous caresser l'angoulême avec moi ? : dictons locaux, expressions régionales et proverbes historiques
Livres
ISBN : 978-2-02-031976-8
cab : 1050140000018
Année : 1998
Auteur : Agnès Pierron
Editeur : ED DU SEUIL SEIL
Description : Vous portez-vous comme le Pont-Neuf ? Difficile, quand on fait l'amour comme les gars de Pléhédel... Savez-vous ce que signifient " elle n'est pas de Düttlenheim " ou " être en Castille avec quelqu'un " ? Pourriez-vous dire d'où vient l'expression " un pauvre bougre " ? Pour être en mesure de tenir tête à ces questions et à une foule d'autres encore, répondez vite à l'invitation d'Agnès Pierron Voulez-vous caresser l'angoulême avec moi ? . Avec soin et curiosité, cette spécialiste du théâtre d'épouvante a effectué un travail d'archéologue pour répertorier les expressions faisant allusion à différentes villes et régions de France, et à quelques lieux des cinq continents. Les moindres recoins de France ont leurs dictons, et Pierron a puisé dans cette mine pour écrire ce recueil amusant et instructif qui permet de conserver ces petits bijoux linguistiques. Quand l'explication du sens ou de l'origine d'une expression est disponible, elle y est fournie. Les expressions sont classées par villes, rangées sous les trente-deux régions datant de l'Ancien Régime - la plupart des dictons, expressions et proverbes étant nés avant la Révolution. Le tout est précédé d'une introduction avec exemples, où est notamment mise en lumière la différence entre dictons locaux et proverbes historiques, et suivi d'une bibliographie sélective.

Poèmes et chansons
Livres
ISBN : 978-2-02-012928-2
cab : 7200172
Année : 1991
Auteur : Georges Brassens
Editeur : SEUIL SEIL
Description : « … Vous viendrez me dire : « Il m’est arrivé tel malheur », vous auriez 18 ans, je vous aurais vu pleurer dans le coin là-bas, parce que vous m’auriez dit qu’une fille vous avait laissé dans telles ou telles circonstances, bon ! Je vous aurais dit : « T’en fais pas mon petit, c’est pas grave. » Bien sûr c’est très grave de perdre ses billes ou d’avoir son ballon ou sa première bulle de savon qui crève, mais je vous aurais dit : « T’en fais pas mon petit. » Bien que les chagrins d’enfance ne s’arrangent peut-être jamais finalement. Peut-être que la bulle de savon qui est crevée l’est définitivement et qu’on s’en remet jamais. Mais enfin, je vous aurais dit ça, et petit à petit tout ça aurait cheminé en moi, et, à l’aide d’autres histoires analogues à la vôtre, j’aurais fini, parce que c’est ma vocation, de jouer avec les mots, tout en prenant part à votre chagrin, par faire une chanson. Vous voyez ? » Georges Brassens, Extrait de l’interview de P. Némo, France-Culture, 1979.