Les bottes de sept lieues : et autres nouvelles
Livres
ISBN : 978-2-07-033462-9
cab : 1031440000014
Année : 1988
Auteur : Marcel Aymé
Editeur : GALLIMARD GALIMAR
Description : A l'école, Antoine fait partie d'une bande. Un soir, en jouant un peu trop violemment, les enfants se blessent. Bras et jambes fracturés, ils se retrouvent à l'hôpital. Tout cela par la faute des «bottes de sept lieues» la merveille d'une vitrine d'un curieux magasin de la ville. Tous les enfants rêvent de ces bottes, chacun voudrait pouvoir les acheter. Mais Antoine est très pauvre. Peut-être n'est-ce pas ce qui compte le plus... Avec un supplément ludique et enrichissant. Des tests, des jeux, des exercices d'observation. Un prolongement à la lecture du livre.

Lettres de Mon Moulin
Livres
ISBN : 978-2-07-051376-5
cab : 1031030000011
Année : 1979
Auteur : Alphonse Daudet
Editeur : GALLIMARD GALIMAR
Description : D'abord attribuées à Alphonse Daudet, les Lettres auraient aussi comme co-auteur Paul Arène et co-autrice Julia Daudet (Wikipédia consulté le 03/01/2020) Le Nord de la France, noyé dans les brumes, ignorait le Sud. Alphonse Daudet le lui fit découvrir par ses "Lettres de mon moulin". La Provence, celle de la mer et celle de la montagne, est apparue soudain avec ses troupeaux, ses belles Arlésiennes et ses parfums. Un siècle plus tard, maître Cornille et son secret, la mule du pape qui retient son coup de pied, le curé de Cucugnan, le sous-préfet aux champs, tous ses personnages vivent encore avec la même intensité. Tristes ou gais, mélancoliques ou satiriques, ces petits textes sont des chefs-d’œuvre de malice, de poésie et d'émotion. Avant-propos Livre de Poche 1966 : propos Par devant maître Honorat Grapazi, notaire à la résidence de Pampérigouste, A comparu Le sieur Gaspard Mitifio, époux de Vivette Cornille, ménager au lieudit des Cigalières et y demeurant : Lequel par ces présentes a vendu et transporté sous les garanties de droit et de fait, et en franchise de toutes dettes, privilèges et hypothèques, « Au sieur Alphonse Daudet, poète, demeurant à Paris, à ce présent et ce acceptant, Un moulin à vent et à farine, sis dans la vallée du Rhône, au plein cœur de Provence, sur une côte boisée de pins et de chênes verts ; étant ledit moulin abandonné depuis plus de vingt années et hors d’état de moudre, comme il appert des vignes sauvages, mousses, romarins, et autres verdures parasites qui lui grimpent jusqu’au bout des ailes ; Ce nonobstant, tel qu’il est et se comporte, avec sa grande roue cassée, sa plate-forme où l’herbe pousse dans les briques, déclare le sieur Daudet trouver ledit moulin à sa convenance et pouvant servir à ses travaux de poésie, l’accepte à ses risques et périls, et sans aucun recours contre le vendeur, pour cause de réparations qui pourraient y être faites. Cette vente a lieu en bloc moyennant le prix convenu, que le sieur Daudet, poète, a mis et déposé sur le bureau en espèces de cours, lequel prix a été de suite touché et retiré par le sieur Mitifio, le tout à la vue des notaires et des témoins soussignés, dont quittance sous réserve. Acte fait à Pampérigouste, en l’étude Honorat, en présence de Francet Mamaï, joueur de fifre, et de Louiset dit le Quique, porte-croix des pénitents blancs ; «Qui ont signé avec les parties et le notaire après lecture…» Ce recueil de lettres d’Alphonse Daudet a été publié chez Hetzel en 1869. Ces lettres ont été rédigées en partie avec Paul Arène entre 1866 et 1869 et publiées tout d’abord dans la presse ( Le Figaro, L’Évènement, Le Bien Public) L’édition originale ne comportait que 19 lettres. Celle de 1879, chez le même éditeur en comporte 24.

Mondo et autres histoires
Livres
ISBN : 978-2-07-039399-2
cab : 1033940000013
Année : 1996
Auteur : Jean-Marie Gustave Le Clézio
Editeur : GALLIMARD GALIMAR
Description : Les contes de Le Clézio, qui semblent nés du rêve et du recueillement, nous parlent pourtant de notre époque. Venu d'ailleurs, Mondo le petit garçon qui passe, Lullaby la voyageuse, Jon, Juba le sage, Daniel Sindbad qui n'a jamais vu la mer, Alia, Petite Croix, et tant d'autres, nous sont délégués comme autant d'enfants-fées. Ils nous guident. Ils nous forcent à traverser les tristes opacités d'un univers où l'espoir se meurt. Ils nous fascinent par leur volonté tranquille, souveraine, accordée au silence des éléments retrouvés. Ils nous restituent la cadence limpide du souffle, clé de notre âme.