Déclaration universelle des droits de l'homme : 50e anniversaire
Livres
ISBN : 978-2-86274-546-6
cab : 1007990000019
Année : 1998
Auteur : Christine Lesueur
Editeur : LE CHERCHE MIDI ED CHERCH
Description : Sans cesse évoqués dans les discours, sans cesse bafoués au jour le jour, les droits de l'homme sont notre affaire à tous. Constantly brought to mind by some and openly flouted by others day by day. Human Rights principles are matters that concern us all. Siempre mencionados en los discursos, dia tras dia ridiculizados, los Derechos Humanos nos conciernen a todos y a cada uno de nosostros. Einerscits standing erwahnt und andererseits mipiachret und mit Füpien getreten, sind die Menschenrechte cine Sache, die uns alle betrifft.

L'Europe, quelles frontières ?
Livres
ISBN : 978-2-353-12021-5
cab : 7202157
Année : 2007
Auteur : Centre d'analyse et de prévision France
Editeur : CULTURESFRANCE KULTURESFRANS
Description : À l'heure où l'Union européenne compte 27 membres, depuis janvier 2007, avec l'entrée de la Bulgarie et de la Roumanie, la collection «Penser l'Europe» pose dans cet ouvrage les questions des frontières de l'Europe. Quelles définitions ? Quelles réalités ? Quel élargissement ? Avec les contributions d'auteurs parmi les meilleurs spécialistes français et européens. Au sommaire : Rémi Brague, «Avons-nous besoin de frontières ?» ; Yves Lacoste, «Géopolitique des frontières...

Identité et mémoire
Livres
ISBN : 978-2-353-12020-8
cab : 7202130
Année : 2007
Auteur : Centre d'analyse et de prévision France
Editeur : CULTURESFRANCE KULTURESFRANS
Description : Les réalités d'une identité européenne fondée sur des mémoires nationales et partagées. Ouvrage présenté en français et en anglais. Dans cet ouvrage, universitaires et penseurs allemands, britanniques et français sont interrogés sur les réalités d'une identité européenne fondée sur des mémoires nationales et partagées.

L'Europe et le développement durable
Livres
ISBN : 978-2-354-76040-3
cab : 000002846601
Année : 2008
Auteur : Centre d'analyse et de prévision France
Editeur : CULTURESFRANCE KULTURESFRANS
Description : Le débat sur le cadre constitutionnel et la finalité de l’intégration européenne, tel que lancé par la Déclaration de Laeken et mené au sein de la Convention sur l’avenir de l’Europe – puis poursuivi dans d’autres enceintes nationales et européennes et sous d’autres formes après l’adoption du projet de Traité établissant une Constitution pour l’Europe – s’est inscrit dans le cadre d’un débat bien plus vaste sur l’évolution de l’économie et de la société, de la démocratie et de la gouvernance, et des rapports entre le marché et l’État, ainsi qu’entre l’humanité et la nature, en Europe et dans le monde, à l’ère de la mondialisation économique néolibérale. Un des thèmes inéluctables de ce débat cosmopolitique planétaire [2] [2] Voir notamment U. Beck, Pouvoir et contre-pouvoir à l’ère de la… est le « développement durable » sous ses multiples déclinaisons. 2Comme il apparaît à la lecture des autres contributions au présent cahier de cette Revue, le débat sur la Constitution économique européenne est, quant à lui, d’origine beaucoup plus ancienne. Il remonte aux origines du processus d’intégration économique et politique européenne. Pour citer un ancien conseiller politique de François Mitterrand : « Le rêve communautaire surgit au carrefour d’un économisme et d’un juridisme, vieux couple d’inséparables. Un homme de loi rencontre un professeur d’économie. Que font-ils ? Le traité de Rome. » [3] [3] R. Debray, La puissance et les rêves, Gallimard, Paris, 1984,… 3Les rapports entre libertés économiques, marché commun et intérêt général, tel qu’incarné tantôt par l’État-nation, tantôt par les autorités politiques supranationales européennes, sont depuis toujours au centre des enjeux du droit institutionnel et économique communautaire. Même si elle n’a jamais réussi à conquérir une prééminence équivalente à celle du projet d’intégration économique fondé sur le libre-échange, la dimension sociale a également occupé une place dans le discours politico-juridique communautaire depuis ses origines. Plus récemment, à partir du début des années 1970, la protection de l’environnement s’est aussi progressivement affirmée comme objectif de la construction européenne à part entière. Ainsi, alors que du point de vue classique des spécialistes du droit institutionnel européen, le débat sur les « trois piliers » a une signification bien différente, une analyse du récent débat constitutionnel serait incomplète si elle ne prenait pas en compte également les confrontations et équilibres entre trois « autres » piliers, à savoir les piliers économique, social et écologique du développement durable. 4C’est pourquoi la présente contribution a pour objet d’analyser les origines et implications de l’affirmation du développement durable comme objectif de l’intégration européenne dans le cadre constitutionnel de l’Union, tel qu’il a été fixé par le Traité de Lisbonne après l’échec du Traité établissant une Constitution pour l’Europe. À l’issue de cette analyse, on peut affirmer que cet objectif est devenu une partie intégrante du cadre normatif de la Constitution économique européenne et doit, à ce titre, être pleinement pris en compte par le législateur et par le juge dans l’exercice de leurs fonctions respectives en vertu des Traités. Les conséquences précises de cette constatation restent cependant encore incertaines à ce moment.

An introduction to French administration
Livres
ISBN : 978-2-11-003437-3
cab : 7202267
Année : 1996
Auteur : Institut international d'administration publique
Editeur : LA DOCUMENTATION FRANCAISE DOKUMANTASION FRANSAIS
Description :

L'Europe, quel modèle économique et social ?
Livres
ISBN : 978-2-354-76041-0
cab : 000002846802
Année : 2008
Auteur : Centre d'analyse et de prévision France
Editeur : CULTURESFRANCE KULTURESFRANS
Description : Les sociétés européennes sont basées sur un compromis entre le capitalisme, la propriété privée et les forces du marché d’une part, le socialisme, la redistribution et la production publique d’autre part. Une part importante des dépenses des ménages est publique (éducation, santé) ; certains risques sont collectivement assurés (chômage, maladie, vieillesse, famille, pauvreté) ; une part importante des revenus est redistribuée par l’impôt et la protection sociale. Le droit du travail régit les relations au sein de l’entreprise, la détermination des salaires et les procédures de licenciement. Un large consensus semble exister parmi les responsables européens — politiques, syndicalistes ou sociaux — pour estimer qu’il existe un Modèle social européen (MSE), caractéristique des sociétés européennes, et que celui-ci doit être défendu et développé. Mais cette notion est ambiguë (Jepsen et Serrano Pascual, 2005) : est-ce une simple description de l’état actuel des sociétés européennes (qui sont diverses et qui évoluent) ? Dans ce cas, le concept n’a pas de contenu précis puisqu’il doit englober des modèles très différents, le Royaume-Uni comme la Suède ou l’Italie. Est-ce une notion normative : une économie de marché compatible avec la cohésion sociale, un niveau minimum d’inégalité, la couverture sociale des besoins fondamentaux ? Ce schéma idéal est-il réalisable, reste-t-il compatible avec l’évolution économique contemporaine marquée par la mondialisation ? Est-ce un projet politique ? Quel est son contenu précis ? Quelles sont les forces sociales qui le portent ? Est-ce l’objectif obligé de la construction européenne (qui ne fait donc pas débat) ou un projet parmi d’autres ?

L'Europe et la Méditerranée
Livres
ISBN : 978-2-354-76042-7
cab : 000002846501
Année : 2008
Auteur : Centre d'analyse et de prévision France
Editeur : CULTURESFRANCE KULTURESFRANS
Description : Resumé En réduisant sa relation avec les voisins méditerranéens à l’économie et la sécurité, l’Europe a occulté la proximité qui lie les populations des deux rives. À présent, elle doit dépasser la tentation du repli et s’appuyer sur les sociétés civiles afin de bâtir une politique méditerranéenne plus ouverte. Les révoltes et les espoirs qui soulèvent les sociétés arabes rendent plus sensible que jamais la crise qui paralyse les relations euro-méditerranéennes. Deux ans après la guerre de Gaza qui a gelé la mise en œuvre de l’Union pour la Méditerranée (UPM), le printemps arabe apporte le coup de grâce au partenariat euro-méditerranéen, totalement impuissant à soutenir les transformations en cours chez nos voisins. Alors que la démission du secrétaire général de l’UPM en janvier 2011 est passée inaperçue1, seuls quelques responsables français osent encore affirmer qu’elle serait la réponse aux défis que pose l’effervescence des sociétés du Sud. Dans la pratique, ils ont adopté une démarche plus nationale qu’européenne, par exemple dans l’affaire libyenne, pour mieux faire oublier les cafouillages tragi-comiques de la France en Tunisie. La Commission européenne s’efforce à plus de cohérence : elle reconnaît2 que « la transformation radicale du paysage politique » exige un « saut qualitatif ». Elle appelle à fonder sur l’attachement aux valeurs communes un « partenariat pour la démocratie et une prospérité partagée », dont les priorités seraient d’appuyer les réformes démocratiques et de renforcer la coopération avec les populations, y compris par un accroissement de la mobilité des personnes. Mais les propositions concrètes sont modestes. La façon dont les États s’approprient les analyses de la Commission laisse rêveur sur l’audience actuelle du message européen. Jamais les discours populistes contre l’immigration ou contre l’islam n’ont été aussi forts dans certains pays, au point d’accorder plus de visibilité à la menace – très relative – d’un déferlement migratoire sur l’Europe qu’à l’importance, pour l’avenir de toute la région, des changements en cours. Plus lucide, Alain Juppé, ministre des Affaires étrangères, a invité la diplomatie française à « changer son regard sur le monde arabe » et à délaisser la complicité avec des gouvernants corrompus et autoritaires au profit d’un dialogue accru avec la société civile et les « courants islamiques »3. Même s’il risque de sur-dimensionner le facteur religieux, un tel revirement confirme que l’heure des bilans a sonné. Le printemps arabe, qui prive peu à peu l’Europe de ses interlocuteurs habituels discrédités, oblige à repenser totalement le partenariat euro-méditerranéen. Relations euro-méditerranéennes paralysées Quand on considère le gel dudit partenariat depuis fin 2008, illustré par les reports successifs des sommets euro-méditerranéens, on est tenté de porter un jugement sévère sur l’activisme dérisoire déployé pendant quatre ans pour redynamiser le processus. L’initiative française en Méditerranée, dont Nicolas Sarkozy voulait faire son grand chantier diplomatique, a accumulé contradictions, improvisations et maladresses. Resteront toutefois la volonté de remettre la question méditerranéenne au centre du débat européen, ou la tentative de réintroduire le dialogue euro-arabe dans le processus. Avec plus de recul, l’échec français est aussi celui de l’Europe, le révélateur de sa difficulté à assumer le rapport aux sociétés d’outre-Méditerranée. Les partenaires du sud et de l’est de la Méditerranée ne sont pas étrangers à la crise des relations euro-méditerranéennes, par leur incapacité à parler d’une seule voix comme par leurs dérives autoritaires. Mais la responsabilité des Européens paraît essentielle. Sur un plan conjoncturel, l’affaire de Gaza a causé le gel immédiat de l’UPM. Les Européens dans leur ensemble n’ont pas cherché à dissuader les Israéliens, dont ils ne pouvaient ignorer les préparatifs, de lancer sur Gaza leur offensive, absolument contraire à l’engagement pris, lors de la conférence euro-méditerranéenne de Marseille en novembre 2008, de ne pas recourir à la force pour régler les conflits. Même si l’Union européenne (UE) n’est pas la seule à montrer son impuissance sur ce dossier, sa posture ambiguë a eu un effet délétère sur le rapport de confiance ébauché à Marseille. Ce conflit emblématique continue à bloquer les réunions euro-méditerranéennes. Mais la perte de visibilité et de crédibilité de l’Europe sur la scène méditerranéenne tient aussi à des facteurs plus structurels.

L'Europe et la puissance
Livres
ISBN : 978-2-354-76043-4
cab : 000002846402
Année : 2008
Auteur : Centre d'analyse et de prévision France
Editeur : CULTURESFRANCE KULTURESFRANS
Description : Voici les contributions de six analystes sur cette problématique : Europe et puissance, chacun faisant valoir une approche différente - stratégique, philosophique, politique, technologique... et qui, ensemble, donnent vie à ce concept. Avec François Heisbourg, "La puissance de l'influence" ; Vaira Vike-Freiberga, "L'Europe et la puisssance : allier la grandeur et la bonté"; Pierre Buhler, "L'Europe peut-elle devenir une grande puissance ?" ; Bertrand de Montluc, "Galileo, un projet européen" ; et un débat animé par Pierre Lévy, avec Robert Cooper, Joseph Nye et Anne-Marie Slaughter : "Qu'est-ce que la puissance aujourd'hui ?"

Diversité culturelle
Livres
ISBN : 978-2-354-76012-0
cab : 000002760501
Année : 2007
Auteur : Centre d'analyse et de prévision France
Editeur : CULTURESFRANCE KULTURESFRANS
Description : Ce nouveau titre de la collection Penser l'Europe s'intéresse aux enjeux liés à la diversité des expressions culturelles et linguistiques. Les questions de langue en particulier habitent les réflexions associées à la construction européenne. Plus que tout autre continent, l'Europe, par sa diversité inhérente et par son histoire, se fonde sur le dialogue des multiples cultures qui la constituent. Multilinguisme, différences nationales, dynamiques régionales, coopération, cosmopolitisme : comment penser l'identité de l'Europe, sinon par sa diversité, celle des langues à respecter et des cultures à promouvoir ? Plusieurs spécialistes éclairent, par leur expérience, ces questions d'actualité, essentielles à la définition du paysage culturel et politique européen : Julia Kristeva, Ulrich Beck, Krzysztof Pomian et George Steiner.