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<iframe height="200" style="border: 0px; overflow:hidden" width="100%" scrolling="no" title="Nouveau" src="https://new.mabib.fr/bibliotheque/java/kiosque?titre=Nouveau&style_liste=diaporama&nb_notices=20&only_img=1&aleatoire=0&tri=1&nb_analyse=50&op_hauteur_img=150&op_transition=fade&op_largeur_img=95&op_hauteur_boite=200&op_captions=0&op_autoplay=0&op_visible=0&op_speed=0&op_auto=0&op_scroll=1&rss_avis=1&id_catalogue=5&id_panier=&profil_redirect=&boite=boite_de_la_division_gauche&id_module=7&profile_id=1&id_user=0&styles_reload=0&type_module=KIOSQUE&division=1&id_profil=1&vue=diaporama"> </iframe>Éric Neuhoff est un journaliste, critique de cinéma et écrivain français, né le à Paris.
Il a reçu plusieurs prix littéraires, dont le prix Prince-Pierre-de-Monaco, en 2014, pour l'ensemble de ses œuvres.
Licencié ès lettres, Éric Neuhoff se révèle comme écrivain au début des années 1980, dans un style néo-hussard, aux côtés de Denis Tillinac, Patrick Besson et Didier van Cauwelaert.
Il a fait partie de l'équipe du Fou du roi, émission menée par Stéphane Bern.
Il écrit pour Madame Figaro et prend part à la chronique cinéma et littérature de l'émission de radio Le Masque et la Plume sur France Inter ; il collabore de façon régulière au journal Service littéraire et à l'émission de télévision Le Cercle sur Canal+ Cinéma.
Il a participé à l'écriture du scénario du film Les Âmes fortes de Raoul Ruiz.
Il a publié plusieurs ouvrages sur le cinéma, notamment Lettre ouverte à François Truffaut (1987) ainsi qu'une biographie de Frank Sinatra, Histoire de Frank (2003). En 2019, il brosse un portrait critique du cinéma français contemporain dans le pamphlet (Très) cher cinéma français,, qui est à son tour critiqué comme étant un « court pamphlet déploratif ».
En 2023, il postule à l'Académie française, mais n'est pas élu.
En 2002, il initie avec Jean-François Coulomb une pétition demandant une « solution rapide et décente aux problèmes fiscaux de Françoise Sagan », condamnée pour une fraude fiscale sur ses revenus de 1994, devenant de fait redevable à l’État de 838 469 euros, en considérant que si « Françoise Sagan doit de l'argent à l’État, la France lui doit beaucoup plus : le prestige, le talent, un certain goût de la liberté et de la douceur de vivre. »
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Source : Article éric Neuhoff de WikipédiaContributeurs : voir la liste
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