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AccueilSandor Marai

Sandor Marai

 
Sandor Marai. Source: Wikipedia

Sándor Márai, né Sándor Grosschmid de Mára (márai Grosschmid Sándor Károly Henrik en hongrois) le à Kassa, qui fait alors partie du Royaume de Hongrie dans l'Empire austro-hongrois (aujourd'hui Košice, en Slovaquie), et mort le à San Diego, aux États-Unis, est un écrivain et journaliste hongrois.

Biographie

Milieu familial et années de formation

Sándor Márai naît dans une famille de la petite noblesse de Haute-Hongrie de quatre enfants dont il est l'aîné. Il est le fils du docteur Géza Grosschmid de Mára (1872-1934), notaire royal, président de la chambre des avocats de Kassa et ancien sénateur du Parti socialiste chrétien national hongrois. Sa mère est Margit Ratkovszky (1874-1964) et son frère est le réalisateur Géza Radványi. Son aïeul János Kristóf (1745-1798), haut fonctionnaire du Trésor né et installé dans le comitat de Máramaros en Hongrie de l'est, au nord de la région Transylvanie, y reçut de Léopold II la terre noble de Mára (1790).

Sándor Márai est attiré très tôt par l'écriture. Il publie en effet son premier recueil de poésies à l'âge de 18 ans et, tout en poursuivant des études d'art à l'université de Budapest, collabore régulièrement au quotidien Magyarország. Une contribution à un journal communiste lors de l'éphémère République des Conseils de Hongrie, régime dictatorial dirigé par Béla Kun ( - ), incite ses parents à le presser de partir quelque temps à l'étranger, au renversement de ce régime par l'armée franco-roumaine du général Henri Berthelot. Ils craignent pour leur fils la « Terreur blanche », la répression organisée contre les communistes par les contre-révolutionnaires hongrois. Sándor Márai part donc pour l'Allemagne afin d'entamer des études de journalisme à l'Université de Leipzig et des études de philosophie aux Universités de Francfort et de Berlin, tout en écrivant des articles pour les journaux et les magazines. C'est à Berlin qu'il rencontre par hasard dans un café Ilona Matzner (Lola) qu'il avait connue à Kassa. Ils se marient quelques mois plus tard, en 1923. Le jeune couple s'installe d'abord à Paris, où Sándor Márai travaille comme correspondant du Frankfurter Zeitung, le journal de la bourgeoisie libérale allemande, dont il est devenu l'une des prestigieuses signatures. Il envisage pendant un temps d'écrire en allemand, mais il choisit finalement sa langue maternelle, le hongrois. Sándor Márai et sa jeune épouse décident de rentrer à Budapest, en 1928, où le régime très conservateur de l'amiral Miklós Horthy, élu le « Régent du royaume », maintient la démocratie parlementaire bien que le type de scrutin hongrois empêche toute alternance politique véritable. Les propriétaires terriens, dans une économie où l'agriculture est prépondérante, et l'aristocratie qui domine l'armée et la classe politique sont les principaux soutiens du régime.

Un écrivain célèbre dans la Hongrie du régent Horthy

Journaliste, poète, auteur dramatique, traducteur littéraire, cet écrivain brillant connaîtra dès ses premiers romans le succès avec Le Premier Amour (1928), Les Révoltés (1930), Un chien de caractère (1932), L'Étrangère (1934) et surtout Les Confessions d'un bourgeois (1934), écrits dans un style clair et réaliste. Ses nombreux articles dans le journal Újság font de Sándor Márai le chroniqueur célèbre de la vie culturelle de son pays. Encensé et adulé, il fait paraître Divorce à Buda (1935) et L'Héritage d'Esther (1939) qui sont autant de chefs-d'œuvre. Il est l'un des premiers à découvrir Kafka qu'il traduit en hongrois. En 1939, Sándor Márai et son épouse perdent leur fils, Kristóf, quelques semaines seulement après sa naissance. Ils n'auront pas d'autre enfant, mais ils adoptent János. Sándor Márai se tient à l'écart des chapelles littéraires et observe avec inquiétude la montée des régimes totalitaires.

Le destin de Sándor Márai, comme celui de sa ville natale, est lié aux soubresauts de l'histoire de son pays. La Hongrie se trouve dans le camp des vaincus à la fin de la Première Guerre mondiale et le Traité de Trianon en 1920, qui lui a enlevé les deux tiers de son territoire et plus de la moitié de sa population, est ressenti comme une injustice par les Hongrois. Toute la politique de la Hongrie conduite par l'amiral Horthy sera dès lors centrée sur la récupération des territoires perdus. Le régime autoritaire et conservateur du régent Horthy s'allie à l'Italie de Mussolini par un traité d'amitié en 1927. Sándor Márai, antifasciste, juge sévèrement la trahison des idéaux de la démocratie par sa classe sociale, la bourgeoisie intellectuelle de son pays. Il assiste au glissement accéléré de la Hongrie vers le fascisme et, dès 1933 sous l'impulsion du Premier ministre Gyula Gömbös, à une alliance de plus en plus étroite avec l'Allemagne nazie et à un antisémitisme de plus en plus actif sous la pression de celle-ci. Entamant ce qu'il appelle son « émigration interne », il se consacre dès lors à son travail d'écrivain pendant cette période de l'entre-deux-guerres et toute la Seconde Guerre mondiale, puisque son pays ne sera envahi par l'Allemagne que le . Il fait paraître notamment deux superbes romans, La Conversation de Bolzano (1940) et, surtout, Les Braises (1942) qui devient un véritable bestseller.

Mais la guerre se rapproche. Devant l'avancée de l'Armée rouge, la Wehrmacht occupe la Hongrie, son alliée. Les Márai, en raison de l'origine juive d'Ilona, doivent se cacher à Leányfalu, un village situé à 25 km au nord de Budapest, pour échapper aux arrestations et aux déportations massives de la population juive hongroise organisées par les nazis, d'abord en province, puis à Budapest. Ils espèrent ensuite échapper aux exactions, viols et pillages de l'Armée rouge. C'est le sujet de son autobiographie intitulée Mémoires de Hongrie, parue en 1972, dans laquelle Sándor Márai, exilé, relate l'arrivée des soldats soviétiques et les premières années de l'installation du pouvoir communiste par la force.

L'arrivée des communistes au pouvoir

L'Armée rouge encercle Budapest le et le siège prend fin le . Dans son roman Libération, Sándor Márai décrit ces minutes de terreur, ces heures d'attente et d'ennui. Son héroïne, biologiste, étudie les réactions humaines comme on le ferait en laboratoire. À travers elle, le grand romancier s'interroge sur le sens des mots liberté et racisme, prenant des exemples à portée de main : un homme condamné par le silence de ses voisins, l'arrivée d'un jeune Russe « libérateur ».

Sándor Márai a écrit ce texte atypique en trois mois, juste après la prise de Budapest par l'armée soviétique. Pourtant, il réussit à transformer le reportage instantané en une œuvre littéraire poignante et incisive. On sent chez cet écrivain trop longtemps oublié un profond scepticisme : une guerre, un génocide ne serviront jamais de leçon à l'histoire des hommes, semble-t-il nous dire – tandis que son héroïne découvre l'aube en tenant dans sa main un mouchoir trempé de sang. Le roman ne sera publié qu'en 2000 : Márai y raconte les derniers jours du siège de la capitale à travers l'analyse du comportement des habitants terrés dans les caves d'un immeuble pendant ces heures interminables d'attente de l'issue des combats. Écrit quelques mois après la libération de la ville, il transforme un épisode douloureux de la vie de la population en une œuvre littéraire. Budapest est en ruines et lui-même ne retrouve dans les décombres de sa maison qu'un chapeau haut-de-forme, une photo de Tolstoï et un seul livre d'une bibliothèque de 6 000 volumes. L'histoire de son pays bascule avec l'arrivée de l'Armée rouge et des nouvelles autorités.

Sándor Márai assiste avec tristesse à l'installation progressive et forcée du régime communiste dans son pays avec l'appui des troupes d'occupation. Ses valeurs, celles de sa classe sociale, la bourgeoisie, dans ce qu'elle avait de meilleur selon lui, sont peu à peu en totale opposition avec celles de son pays : la démocratie libérale garantissant les libertés fondamentales dont celles de s'exprimer et de créer librement. Un temps honoré par les nouvelles autorités de son pays, nommé secrétaire général de l'Union des écrivains en 1945, puis élu membre de l'Académie des sciences en 1947, il n'est plus que toléré dans la République de Hongrie. Désigné par la presse communiste comme étant un « auteur bourgeois », sévèrement critiqué par l'influent philosophe marxiste Georg Lukács, ancien membre du gouvernement de Béla Kun, son dernier livre mis au pilon,, Sándor Márai prend la décision d'émigrer. Bien plus tard, dans Mémoires de Hongrie, il racontera ses années de disgrâce, avant son départ en exil, sous le nouveau régime dans lequel il est considéré comme un ennemi de classe. Dans ce récit des années 1944 à 1948, il montre l'asservissement de son pays, l'écrasement des libertés tant politiques, culturelles que spirituelles, la bassesse de ses élites, la terreur qu'inspire le pouvoir. En raison des pressions qui s'exercent sur lui, Sándor Márai est contraint de s'exiler en 1948. Comme le note son éditeur français Albin Michel : l'écrivain doit se résigner à l'évidence : l'humanisme est assassiné, on assiste au triomphe d'une nouvelle barbarie à laquelle, une fois de plus, le peuple se soumet. Isolé et impuissant, Márai décide de quitter son pays : « Pour la première fois de ma vie, j'éprouvai un terrible sentiment d'angoisse. Je venais de comprendre que j'étais libre. Je fus saisi de peur », écrit-il la nuit de son départ en 1948. Il sera totalement ignoré par les instances littéraires de son pays pendant toutes les années du communisme. Ses livres resteront interdits et ne seront pas édités jusqu'à la chute du régime.

L'exil en Italie et aux États-Unis

Après quelques semaines passées en Suisse, Sándor Márai part pour l'Italie pour un premier séjour (1948-1952). Il s'installe à Naples dans le quartier de Pausilippe où il situera son roman Le Miracle de San Gennaro (publié en allemand en 1957, puis en hongrois en 1965). Il collabore à Radio Free Europe de Munich, une radio financée par le Congrès des États-Unis dont le but, en pleine guerre froide, est de combattre le communisme en diffusant des informations indisponibles de l'autre côté du rideau de fer. Il y était l'un des premiers journalistes des programmes hongrois. En 1952, il décide de s'installer à New York et acquiert la nationalité américaine en 1957. Il séjourne aux États-Unis jusqu'en 1967, où il poursuit sa collaboration à Radio Free Europe avec notamment une émission littéraire Sunday Letters. En , il revient en Italie pour un second séjour de 1967 à 1980. Il se retire avec sa femme Lola à Salerne, près de Naples où les Márai mènent une vie paisible. Des problèmes de santé conduisent Sándor Márai et son épouse Lola à effectuer un dernier départ en 1980 pour les États-Unis. Ils y vivront à proximité de leur fils János à San Diego, en Californie.

Pendant ses 41 années d'exil, il poursuivra l'écriture d'une œuvre immense, en hongrois, qui comprend des romans - dont Paix à Ithaque ! (1952) et Les Métamorphoses d'un Mariage (1980), l'important récit autobiographique, Mémoires de Hongrie (1972), des pièces de théâtre, des poèmes et des journaux intimes (de 1943 à 1983). Ses livres ne sont publiés que par les maisons d'édition hongroises en exil et ne peuvent circuler en Hongrie que sous le manteau. Son œuvre est régulièrement traduite en langues étrangères, mais sans pour autant rencontrer un grand succès. Le , son épouse Lola, qui était devenue aveugle, meurt d'un cancer. Une année plus tard, son fils János décède également, à l'âge de 46 ans. Brisé par la disparition de ses proches et vivant dans un isolement de plus en plus complet, Sándor Márai se donne la mort à San Diego le , huit mois seulement avant la fin de la République populaire de Hongrie proclamée le . Un an avant sa disparition, un de ses amis s'était rendu dans une librairie à Budapest pour acheter ses livres et s'était entendu dire : « Il n'y a pas d'écrivain au nom de Márai. »

La reconnaissance d'un immense écrivain européen

Pendant son exil, Márai est resté largement oublié en Europe, à l'exception notable de quelques traductions en espagnol et en allemand. Márai ne sera redécouvert qu'après sa mort, au début des années 1990 et de manière spectaculaire, grâce aux éditions Albin Michel, qui le publient dans la collection « Les grandes traductions », dirigée alors par Ibolya Virág , l'éditrice à qui l'on doit en France la découverte de grands écrivains hongrois, classiques et contemporains qui étaient inconnus ou oubliés. En rééditant Les Braises, la traduction française de A gyertyák csonkig égnek déjà parue en 1958 sans grand succès, Ibolya Virág révèle les romans de Sándor Márai au public français et les fait connaître aux éditeurs étrangers. Traduit ensuite dans un grand nombre de langues, dont l'italien, l'anglais, l'allemand, l'espagnol et le portugais, le roman de Sándor Márai connaît un succès mondial inédit pour une œuvre de la littérature hongroise. Newsweek peut intituler un article consacré à Sándor Márai en janvier 2005 : Sauvé de l'oubli : l'étonnante résurrection de Márai

L'œuvre de Sándor Márai est maintenant considérée comme faisant partie du patrimoine littéraire européen et jouit d'une réputation semblable à celles de Stefan Zweig, de Joseph Roth et d'Arthur Schnitzler. Comme eux, il est un des grands écrivains du XXe siècle, l'un des derniers représentants de la culture brillante et cosmopolite de la Mitteleuropa emportée par la défaite de l'Empire austro-hongrois et par les totalitarismes. Cet intellectuel idéaliste écrivait dans Les Confessions d'un bourgeois : « Tant qu'on me laissera écrire, je montrerai qu'il fut une époque où l'on croyait en la victoire de la morale sur les instincts, en la force de l'esprit et en sa capacité de maîtriser les pulsions meurtrières de la horde. »

En 1990, Sándor Márai a reçu le Prix Kossuth, la plus haute distinction hongroise, à titre posthume. Le Petőfi Irodalmi Múzeum, musée consacré à la littérature hongroise à Budapest, conserve les documents lui appartenant. C'est le centre de recherche le plus important consacré à la vie et à l'œuvre du grand écrivain.

Œuvres

Romans

  • A mészáros (1924)
  • Bébi, vagy az első szerelem (1928)
  • Zendülők (1930) [= A Garrenek műve I.] (voir ci-dessous ce dernier titre paru en 1988)
  • Idegen emberek (1931)
  • Csutora (1932)
  • A sziget (1934)
  • Egy polgár vallomásai (1935)
  • Válás Budán (1935)
  • A féltékenyek (1937)
  • Déli szél (1939)
  • Eszter hagyatéka (1939)
  • Vendégjáték Bolzanóban (1940)
  • Szindbád hazamegy (1940) ; réédité au Livre de Poche (n° 35557) en .
  • Az igazi (1941) [roman suivi de l'épilogue Judit… és az utóhang (1980)] (voir ce titre ci-dessous)
  • A gyertyák csonkig égnek (1942)
  • Sirály (1943)
  • A nővér (1946)
  • Sértődöttek (1947-1948), roman en trois volumes
  • Béke Ithakában (1952)
  • San Gennaro vére (1965)
  • Ítélet Canudosban (1970)
  • Rómában történt valami (1971)
  • Erősítő (1975)
  • Judit… és az utóhang (1980) [épilogue du roman Az igazi, les deux sections publiées en français en un seul volume]
  • Harminc ezüstpénz (1983)
  • A Garrenek műve (1988) [voir Zendülők (1930)]
  • Szabadulás (2000), publication posthume
  • Szívszerelem (2001), publication posthume

Recueils de nouvelles

  • Panaszkönyv (1922)
  • Műsoron kivül (1931)
  • Bolhapiac (1934)
  • Kabala (1936)
  • Mágia (1941)
  • Medvetánc (1946)
  • Lucrétia fia (2004), anthologie publiée de façon posthume
  • Lomha kaland (2005), anthologie publiée de façon posthume
  • A régi szerető (2005), anthologie publiée de façon posthume

Poésie

  • Emlékkönyv (1918)
  • Emberi hang (1921)
  • Mint a hal vagy a néger (1930)
  • A szegények iskolája (1933)
  • Verses Könyv (1945)
  • A delfin visszanézett (1978)

Théâtre

  • Männer (1921)
  • Kaland (1940)
  • A kassai polgárok (1942)
  • Varázs (1945)
  • Egy úr Velencéből (1960)
  • Jób... és a könyve (1982), recueil de pièces radiophoniques et de téléfilms)
  • Parázs (1965), adaptation théâtrale du roman Les Braises

Essais

  • A szegények iskolája (1934)
  • Kassai őrjárat (1941)
  • Röpirat a nemzetnevelés ügyében (1942)
  • Ihlet és nemzedék (1946)

Journaux

  • Napló, 1943–1944 (1945), publié à Budapest
  • Napló, 1945–1957 (1958), publié à Washington
  • Napló, 1958–1967 (1968), publié à New York
  • Napló, 1968–1975 (1976), publié à Toronto
  • Napló, 1976–1983 (1985), publié à Munich
  • Traduction française :
    • Journal. Les années hongroises, 1943-1948, Albin Michel, 2019 (Prix Clarens du journal intime 2019).
    • Journal. Les années d'exil, 1949-1967, Albin Michel, 2021.
    • Journal. Les années d'exil, 1968-1989, Albin Michel, 2023.

Mémoires

  • Föld, föld!… (1972)
  • Hallgatni akartam (2013), publication posthume

Récits de voyage

  • Istenek nyomában (1927)
  • Napnyugati őrjárat (1936)
  • Európa elrablása (1947)

Autres publications

  • A négy évszak (1938), épigrammes en prose
  • Ég és föld (1942), aphorismes
  • Füves könyv (1942), maximes et épigrammes en prose
  • Vasárnapi krónika (1943), chroniques

Sur l'œuvre de Sándor Márai

  • La Fortune littéraire de Sándor Márai, ouvrage collectif sous la direction d'András Kányádi, Éditions des Syrtes, 2012
  • André Reszler, Budapest. I Luoghi di Sándor Márai, Milano, Unicopli, 2008, (ISBN 9788840012674)

Notes et références

Liens externes

  • Ressources relatives à l'audiovisuel :
    • Allociné
    • Filmportal
    • IMDb
  • Ressources relatives à la littérature :
    • Internet Speculative Fiction Database
    • Poetry Foundation
  • Ressources relatives au spectacle :
    • Les Archives du spectacle
    • Kunstenpunt
  • Ressource relative à plusieurs domaines :
    • Radio France
  • Ressource relative à la musique :
    • Discogs
  • Olivier Barrot présente le livre de Sandor Marai "Mémoires de Hongrie" sur ina.fr
  • Olivier Barrot présente le livre de Sandor Marai "Les Braises" sur ina.fr
  • Critique sur "Les Confessions d'un bourgeois" dans l'hebdomadaire l'Express.fr
  • Critique du 11/11/2006 du roman de Sándor Márai, "Métamorphoses d'un mariage", par Christine Ferniot - Télérama no 2965
  • Critique du 22/11/2010 du roman de Sándor Márai, Le Miracle de San Gennaro , par le Magazine Littéraire
  • Critique du 28/12/2010 du roman de Sándor Márai, L'étrangère, par le Magazine Littéraire
  • Critique du 31/10/2011 du roman de Sándor Márai, "La Sœur", par Éric de Bellefroid sous le titre "Sándor Márai au faîte de son art" dans le journal La Libre.be
  • Critique du 17/12/2011 du roman de Sándor Márai, "La Sœur", par Lisbeth Koutchoumoff dans le journal Le Temps
  • Critique du 26/12/2012 du roman de Sándor Márai, "Les Étrangers", par Dominique Quinio dans le journal La Croix
  • Un blog en français consacré à Sándor Márai
  • L'émission "Une vie - une œuvre" consacrée à Sándor Márai sur France Culture
  • (en) Une page de blog consacré à Sándor Márai
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Source : Article Sandor Marai de Wikipédia

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